Un soldat de l'armée tchadienne capturé le 18 avril dernier lors d'une attaque dans une zone située entre Litri et Ngouboua, au Lac Tchad, a été exécuté par le groupe État Islamique en Afrique de l'Ouest (ISWAP).
La vidéo de l'exécution filmée en plein jour, dont l'authenticité a été confirmée aujourd'hui par des responsables militaires et administratifs, montre un bourreau au visage cagoulé. Il tire à l'aide d'une arme, une balle en direction de la tête d'un homme agenouillé, en uniforme militaire de l'armée tchadienne.
Il s'agit effectivement d'un soldat tchadien, confirment des officiels. Le soldat donne son identité dans la vidéo, a constaté Alwihda Info.
La vidéo a été mise en ligne samedi par l'agence de propagande de l'État Islamique Amaq. Elle n'est toutefois pas datée.
Le 18 avril dernier, des insurgés d'ISWAP ont attaqué des soldats tchadiens qui étaient à bord de deux pirogues motorisées. Ils ont déclaré en avoir tué quatre et capturé un cinquième dans un communiqué diffusé le lendemain de l'attaque.
La branche ISWAP est issue d'une scission avec Boko Haram. Elle a fait allégeance au groupe terroriste État Islamique, il y a plusieurs années.
Le Tchad a lancé le 29 mars dernier l'opération militaire Colère de Bohoma qui a permis de neutraliser plus d'un millier de terroristes dans le bassin du Lac Tchad, ainsi qu'en territoire nigérien et nigérian.
La Force opérationnelle multinationale conjointe (FMM) a déclaré aujourd'hui avoir "obtenu des informations crédibles concernant un complot des dirigeants assiégés de Boko Haram/ISWAP, en particulier dans la région du lac Tchad, pour lancer une campagne agressive d'endoctrinement et de recrutement dans les semaines à venir."
"Le recrutement forcé devrait cibler les hommes jeunes et adultes. Le plan de secours consiste à kidnapper des cibles involontaires", selon le colonel Timothy Antigha, chef de l'information publique militaire.
La FMM exhorte les jeunes des États du nord-est du Nigéria, de la province du lac du Tchad, de la région de Diffa au Niger et de l'extrême nord du Cameroun, à "être vigilants et à fuir toutes les promesses de possibilités d'argent rapide et d'enseignements malavisés sur le jihad."
La vidéo de l'exécution filmée en plein jour, dont l'authenticité a été confirmée aujourd'hui par des responsables militaires et administratifs, montre un bourreau au visage cagoulé. Il tire à l'aide d'une arme, une balle en direction de la tête d'un homme agenouillé, en uniforme militaire de l'armée tchadienne.
Il s'agit effectivement d'un soldat tchadien, confirment des officiels. Le soldat donne son identité dans la vidéo, a constaté Alwihda Info.
La vidéo a été mise en ligne samedi par l'agence de propagande de l'État Islamique Amaq. Elle n'est toutefois pas datée.
Le 18 avril dernier, des insurgés d'ISWAP ont attaqué des soldats tchadiens qui étaient à bord de deux pirogues motorisées. Ils ont déclaré en avoir tué quatre et capturé un cinquième dans un communiqué diffusé le lendemain de l'attaque.
La branche ISWAP est issue d'une scission avec Boko Haram. Elle a fait allégeance au groupe terroriste État Islamique, il y a plusieurs années.
Le Tchad a lancé le 29 mars dernier l'opération militaire Colère de Bohoma qui a permis de neutraliser plus d'un millier de terroristes dans le bassin du Lac Tchad, ainsi qu'en territoire nigérien et nigérian.
La Force opérationnelle multinationale conjointe (FMM) a déclaré aujourd'hui avoir "obtenu des informations crédibles concernant un complot des dirigeants assiégés de Boko Haram/ISWAP, en particulier dans la région du lac Tchad, pour lancer une campagne agressive d'endoctrinement et de recrutement dans les semaines à venir."
"Le recrutement forcé devrait cibler les hommes jeunes et adultes. Le plan de secours consiste à kidnapper des cibles involontaires", selon le colonel Timothy Antigha, chef de l'information publique militaire.
La FMM exhorte les jeunes des États du nord-est du Nigéria, de la province du lac du Tchad, de la région de Diffa au Niger et de l'extrême nord du Cameroun, à "être vigilants et à fuir toutes les promesses de possibilités d'argent rapide et d'enseignements malavisés sur le jihad."