La Coordination des partis politiques pour la défense de la Constitution (CPDC) a dénoncé ce samedi dans un communiqué, "un air de flottement qui indiquerait une perte de contrôle ou, à tout le moins une duplicité dans la conduite des affaires de la République."
Réunis en plénière le 26 avril 2019, les partis politiques membres de la CPDC ont déploré "la dérive anti-démocratique et anarchisante du pouvoir, qui risque de précipiter le Tchad au fond du gouffre."
D'après-eux, "un désordre inqualifiable est sciemment créé dans la gestion du processus électoral, battant ainsi en brèches la sérénité indispensable à l'organisation des élections."
La CPDC précise qu'il règne au Tchad un climat de confusion et d'irresponsabilité auquel les hautes autorités de la République doivent mettre un terme. Elle exige la libération sans condition des membres du Collectif contre la vie chère arbitrairement incarcérés et demande au Président de la République d'imposer le respect de la loi dans un Etat de droit.
Elle précise qu'elle "se réserve le droit d'entreprendre tout action citoyenne offerte par la loi, pour préserver la démocratie et les libertés au Tchad". Par ailleurs, elle relève que "l'espace des libertés individuelles et collectives est totalement verrouillé. Au droit de manifester consacré par la Constitution, le pouvoir oppose l'interdiction et la répression."
Réunis en plénière le 26 avril 2019, les partis politiques membres de la CPDC ont déploré "la dérive anti-démocratique et anarchisante du pouvoir, qui risque de précipiter le Tchad au fond du gouffre."
D'après-eux, "un désordre inqualifiable est sciemment créé dans la gestion du processus électoral, battant ainsi en brèches la sérénité indispensable à l'organisation des élections."
La CPDC précise qu'il règne au Tchad un climat de confusion et d'irresponsabilité auquel les hautes autorités de la République doivent mettre un terme. Elle exige la libération sans condition des membres du Collectif contre la vie chère arbitrairement incarcérés et demande au Président de la République d'imposer le respect de la loi dans un Etat de droit.
Elle précise qu'elle "se réserve le droit d'entreprendre tout action citoyenne offerte par la loi, pour préserver la démocratie et les libertés au Tchad". Par ailleurs, elle relève que "l'espace des libertés individuelles et collectives est totalement verrouillé. Au droit de manifester consacré par la Constitution, le pouvoir oppose l'interdiction et la répression."