Depuis l'extraction du pétrole , les impôts et autres taxes prélevées aux compagnies pétrolières ont permis une augmentation phénoménales du Budget de l’État.
Ceci à été une très bonne chose pour notre pays qui avait grandement besoin de plus de ressources pour construire des routes , hôpitaux , universités , lycées , etc.
Le problème est que cette manne pétrolière nous pose , est qu'elle a mit notre pays dans une situation de quasi' dépendance aux revenus tirés du pétrole. Une grande partie du Budget de l’État provient de ses revenus , qui comme tout le monde le sait , les pétro-dollards ne sont pas éternelles.
Pour diminuer notre dépendance , le gouvernement doit mettre en place des politiques économiques ambitieuses. Il faut investir dans nos secteurs stratégiques qui sont l'élevage et l'agriculture.
Nous avons tout pour occuper la première place en matière d'élevage dans le Sahel , à nous de nous en donner les moyens en créant des abattoirs modernes aux 4 coins du pays. Si ce secteur est performant les investisseurs suivront se qui accroitra encore plus notre compétitivité.
Nous étions un des premiers producteurs de coton avant l'ère pétrolière , depuis la filière coton s'est empêtrés dans une crise sans fin. C'est vraiment paradoxale car avec les revenues pétroliers , ce secteur aurait dû devenir encore plus performant. Pourquoi ne pas subventionner le coton pour rendre notre coton moins chère que chez nos concurrents , comme le font les pays développés ? Cela nous permettrait d'être bien plus compétitif face à des pays comme le Burkina Faso , le Mali , le Cameroun.
L’agriculture doit être aussi un des fers de lance de l'économie Tchadienne. Il faut bien sûr investir pour moderniser ce secteur mais n'oublions pas que le problème numéro 1 de l'agriculture est l'enclavement , car il y a des régions dans notre pays qui sont excédentaires en produits agricoles mais qui ne peuvent tout simplement pas transporter leurs produits faute de routes. Le pays a ces dernières années amélioré considérablement son réseau routier mais on a l'impression qu'il y a une pause dans cette dynamique cette année. Il faut urgemment la reprendre car c'est une des clés les plus importantes du développement du Tchad.
Si le pays arrive à moderniser ses secteurs traditionnels , en les hissant parmi les plus performants du Sahel , le Tchad jouira d'une prospérité certaine et se développera beaucoup plus rapidement que ses voisins d'Afrique car le pays augmentera son budget d'une façon prodigieuse , peut-être même plus importante qu'à l'arrivée du pétrole.
Ceci à été une très bonne chose pour notre pays qui avait grandement besoin de plus de ressources pour construire des routes , hôpitaux , universités , lycées , etc.
Le problème est que cette manne pétrolière nous pose , est qu'elle a mit notre pays dans une situation de quasi' dépendance aux revenus tirés du pétrole. Une grande partie du Budget de l’État provient de ses revenus , qui comme tout le monde le sait , les pétro-dollards ne sont pas éternelles.
Pour diminuer notre dépendance , le gouvernement doit mettre en place des politiques économiques ambitieuses. Il faut investir dans nos secteurs stratégiques qui sont l'élevage et l'agriculture.
Nous avons tout pour occuper la première place en matière d'élevage dans le Sahel , à nous de nous en donner les moyens en créant des abattoirs modernes aux 4 coins du pays. Si ce secteur est performant les investisseurs suivront se qui accroitra encore plus notre compétitivité.
Nous étions un des premiers producteurs de coton avant l'ère pétrolière , depuis la filière coton s'est empêtrés dans une crise sans fin. C'est vraiment paradoxale car avec les revenues pétroliers , ce secteur aurait dû devenir encore plus performant. Pourquoi ne pas subventionner le coton pour rendre notre coton moins chère que chez nos concurrents , comme le font les pays développés ? Cela nous permettrait d'être bien plus compétitif face à des pays comme le Burkina Faso , le Mali , le Cameroun.
L’agriculture doit être aussi un des fers de lance de l'économie Tchadienne. Il faut bien sûr investir pour moderniser ce secteur mais n'oublions pas que le problème numéro 1 de l'agriculture est l'enclavement , car il y a des régions dans notre pays qui sont excédentaires en produits agricoles mais qui ne peuvent tout simplement pas transporter leurs produits faute de routes. Le pays a ces dernières années amélioré considérablement son réseau routier mais on a l'impression qu'il y a une pause dans cette dynamique cette année. Il faut urgemment la reprendre car c'est une des clés les plus importantes du développement du Tchad.
Si le pays arrive à moderniser ses secteurs traditionnels , en les hissant parmi les plus performants du Sahel , le Tchad jouira d'une prospérité certaine et se développera beaucoup plus rapidement que ses voisins d'Afrique car le pays augmentera son budget d'une façon prodigieuse , peut-être même plus importante qu'à l'arrivée du pétrole.