Le ministère tchadien des Affaires étrangères a appelé vendredi les parties en conflit en Libye à respecter strictement le droit international humanitaire.
Il a dénoncé de "graves ingérences extérieures dans le conflit libyen", par la voix de son porte-parole, Béchir Issa Hamidi.
Le Tchad "constate avec regret que les parties au conflit continuent de privilégier l'option militaire en violation des engagements pris dans le cadre de la Conférence de Berlin le 19 janvier 2020", indique Béchir Issa Hamidi.
Il ajoute que le Tchad "appelle toutes les parties prenantes libyennes à cesser immédiatement les hostilités et à s'engager dans des négociations d'un cessez-le-feu durable en vue d'un processus de dialogue inclusif devant conduire à une véritable réconciliation nationale dans l'intérêt supérieur du peuple libyen. L'option militaire n'est pas une solution à la crise libyenne."
Une vigilance à la frontière
Interrogé par Alwihda Info sur la sécurisation de la frontière tchadienne face à la situation libyenne, le chef d'état-major général des armées, le général Abakar Abdelkerim Daoud, a assuré il y a quelques jours qu'un grand nombre de troupes a été déployé pour doubler la vigilance tout au long des 1055 km de frontière.
Il a dénoncé de "graves ingérences extérieures dans le conflit libyen", par la voix de son porte-parole, Béchir Issa Hamidi.
Le Tchad "constate avec regret que les parties au conflit continuent de privilégier l'option militaire en violation des engagements pris dans le cadre de la Conférence de Berlin le 19 janvier 2020", indique Béchir Issa Hamidi.
Il ajoute que le Tchad "appelle toutes les parties prenantes libyennes à cesser immédiatement les hostilités et à s'engager dans des négociations d'un cessez-le-feu durable en vue d'un processus de dialogue inclusif devant conduire à une véritable réconciliation nationale dans l'intérêt supérieur du peuple libyen. L'option militaire n'est pas une solution à la crise libyenne."
Une vigilance à la frontière
Interrogé par Alwihda Info sur la sécurisation de la frontière tchadienne face à la situation libyenne, le chef d'état-major général des armées, le général Abakar Abdelkerim Daoud, a assuré il y a quelques jours qu'un grand nombre de troupes a été déployé pour doubler la vigilance tout au long des 1055 km de frontière.