Le ministre des Mines, du Développement industriel, commercial et de la Promotion du secteur privé, Ahmat Mahamat Bachir. © Alwihda Info
Le ministre des Mines, du Développement industriel, commercial et de la Promotion du secteur privé, Ahmat Mahamat Bachir a rappelé ce vendredi 3 mai que "le Tchad présente un large éventail d'opportunités dans plusieurs secteurs", lors du lancement d'une usine de production de farine. Il a invité les entreprises chinoises et étrangères à "exploiter ces opportunités qui contribueront sans nul doute au développement du pays."
D'après Ahmat Bachir, "le projet d'investissement entre tout droit dans les axes de priorités du quinquennat actuel par sa contribution au développement socio-économique de notre pays. Cet investissement tchado-chinois vise à doter le Tchad d'une unité agro-alimentaire industrielle pour satisfaire la demande et les attentes de la population".
La réalisation de ce projet est notamment le fruit d'une "coopération agissante entre notre pays et la Chine. C'est un acte d'amitié entre nos deux peuples et l'exemple d'une coopérations sud-sud gagnant gagnant", a-t-il expliqué.
Lutter contre la flambée des prix
"La production de cette usine permettra de réduire substantiellement l'importation grandissante durant ces dernières années de la farine parfois douteuse. Elle permettra de lutter, j'en suis sûr, contre l'inflation et la déflation des prix sur le marché national", a souhaité Ahmat Bachir.
L'usine constitue une source d'emplois directe, indirecte et de sous-traitance. "Nous ne doutons pas un seul instant des autres retombées économiques attendues, notamment la contribution aux recettes fiscales", a relevé le ministre en charge du commerce.
Un investissement de 3 milliards FCFA
L'usine a une capacité annuelle de 18.000 tonnes pour la chaine solaire et de 43.200 tonnes pour la chaine électrique. Les travaux ont duré 18 mois et ont nécessité un investissement de 3 milliards de francs CFA. Environ 80 emplois directes seront créés pour les jeunes. D'après Ahmat Bachir, "grâce à cette usine, les tchadiens auront l'occasion d'avoir de la farine de bonne qualité à un prix raisonnable et abordable". Il a félicité et encouragé les opérateurs économiques nationaux qui ont "compris et accompagné le projet".
La société devra organiser les potentiels producteurs et fournisseurs en coopérative afin d'éviter un dysfonctionnement du marché nationale de maïs.
D'après Ahmat Bachir, "le projet d'investissement entre tout droit dans les axes de priorités du quinquennat actuel par sa contribution au développement socio-économique de notre pays. Cet investissement tchado-chinois vise à doter le Tchad d'une unité agro-alimentaire industrielle pour satisfaire la demande et les attentes de la population".
La réalisation de ce projet est notamment le fruit d'une "coopération agissante entre notre pays et la Chine. C'est un acte d'amitié entre nos deux peuples et l'exemple d'une coopérations sud-sud gagnant gagnant", a-t-il expliqué.
Lutter contre la flambée des prix
"La production de cette usine permettra de réduire substantiellement l'importation grandissante durant ces dernières années de la farine parfois douteuse. Elle permettra de lutter, j'en suis sûr, contre l'inflation et la déflation des prix sur le marché national", a souhaité Ahmat Bachir.
L'usine constitue une source d'emplois directe, indirecte et de sous-traitance. "Nous ne doutons pas un seul instant des autres retombées économiques attendues, notamment la contribution aux recettes fiscales", a relevé le ministre en charge du commerce.
Un investissement de 3 milliards FCFA
L'usine a une capacité annuelle de 18.000 tonnes pour la chaine solaire et de 43.200 tonnes pour la chaine électrique. Les travaux ont duré 18 mois et ont nécessité un investissement de 3 milliards de francs CFA. Environ 80 emplois directes seront créés pour les jeunes. D'après Ahmat Bachir, "grâce à cette usine, les tchadiens auront l'occasion d'avoir de la farine de bonne qualité à un prix raisonnable et abordable". Il a félicité et encouragé les opérateurs économiques nationaux qui ont "compris et accompagné le projet".
La société devra organiser les potentiels producteurs et fournisseurs en coopérative afin d'éviter un dysfonctionnement du marché nationale de maïs.