Les "enfants de Boko Haram"
Ces jeunes enfants à fleur d'âge sont nés et/ou ont grandi entre les mains de Boko Haram. Ils vivent aujourd'hui dans des camps contrôlés par les autorités tchadiennes et tentent de s'habituer à une nouvelle vie.
Selon un rapport du CEDPE consulté par Alwihda Info, "la crise du Lac-Tchad est d’autant plus grave car, cette région semble être abandonnée à elle-même bien longtemps malgré sa médiatisation". Le CEDPE estime que "sans vouloir tout globaliser et tirer à boulets rouges sur les efforts du gouvernement, qu'un seul indicateur, l'éducation, montre l'état de la région".
Sur 284 personnes parmi les anciens membres de Boko Haram et leurs familles, seulement 4 personnes sont inscrites à l’école. Le plus haut niveau de scolarité est la 3ème et la personne concernée est en état de décrochage.
"Même si cette zone est placée sous le contrôle militaire de l’État tchadien, celui-ci n’a pas assumé d’autres responsabilités importantes comme la santé et l’éducation", souligne le CEDPE.
Selon un rapport du CEDPE consulté par Alwihda Info, "la crise du Lac-Tchad est d’autant plus grave car, cette région semble être abandonnée à elle-même bien longtemps malgré sa médiatisation". Le CEDPE estime que "sans vouloir tout globaliser et tirer à boulets rouges sur les efforts du gouvernement, qu'un seul indicateur, l'éducation, montre l'état de la région".
Sur 284 personnes parmi les anciens membres de Boko Haram et leurs familles, seulement 4 personnes sont inscrites à l’école. Le plus haut niveau de scolarité est la 3ème et la personne concernée est en état de décrochage.
"Même si cette zone est placée sous le contrôle militaire de l’État tchadien, celui-ci n’a pas assumé d’autres responsabilités importantes comme la santé et l’éducation", souligne le CEDPE.