Dans la journée du mercredi 8 Février, le médecin chargé d’opérer et rétablir les fistules à Sarh, Dr Joseph Ampil a été passé à tabac à l’entrée du bloc opératoire de l’hôpital régional de la ville de Sarh par des hors la loi de la ville. Ce professionnel de santé a été frappé par les frères d'un patient. Son tort : Avoir répéter à plusieurs reprises aux frères d’un patient que « l’hôpital n’est pas un lieu de loisirs, moins encore un salon familial », puisque qu’ils ont étalé une grande natte juste à l’entrée du bloc opératoire, empêchant les médecins de vaquer à leur travail.
Ce jeune fonctionnaire qui est nouvellement affecté dans la ville de Sarh a eu la vie sauve grâce à ses collègues médecins et certains infirmiers, alors qu'aucun militaires en faction à l’hôpital n’est intervenu pour sa sécurité, et ni l’administration hospitalière n'a ouvert la bouche pour dire quoi que çe soit. Dr Joseph Ampil a rencontré les responsables de l’hôpital pour intenter une action en justice mais ceux-ci sont restés bouche bé.
C’est ainsi qu’il a écrit un rapport circonstancié qu’il a déposé au niveau de la direction de l’hôpital de Sarh. Par voix hiérarchique, le ministère n’a pas reçu officiellement ce rapport et entre temps, le Dr Joseh Ampil à intenté une action au tribunal de Sarh et refusé de retourner dans la ville pour y exercer sa profession.
Depuis lors, le médecin est à N’Djamena pour rencontrer l’actuel Ministre de la Santé publique car il considère que le personnel de la direction de l’hôpital et la délégation sanitaire de la région du Barh Kôh sont complices.
Ce jeune fonctionnaire qui est nouvellement affecté dans la ville de Sarh a eu la vie sauve grâce à ses collègues médecins et certains infirmiers, alors qu'aucun militaires en faction à l’hôpital n’est intervenu pour sa sécurité, et ni l’administration hospitalière n'a ouvert la bouche pour dire quoi que çe soit. Dr Joseph Ampil a rencontré les responsables de l’hôpital pour intenter une action en justice mais ceux-ci sont restés bouche bé.
C’est ainsi qu’il a écrit un rapport circonstancié qu’il a déposé au niveau de la direction de l’hôpital de Sarh. Par voix hiérarchique, le ministère n’a pas reçu officiellement ce rapport et entre temps, le Dr Joseh Ampil à intenté une action au tribunal de Sarh et refusé de retourner dans la ville pour y exercer sa profession.
Depuis lors, le médecin est à N’Djamena pour rencontrer l’actuel Ministre de la Santé publique car il considère que le personnel de la direction de l’hôpital et la délégation sanitaire de la région du Barh Kôh sont complices.