Des gendarmes escortent un détenu au Tchad. Illustration. © Alwihda Info
La cour criminelle spéciale siégeant à Koro Toro pour le jugement de présumés terroristes et éléments de Boko Haram a rendu ce lundi 26 août son verdict. Elle avait ouvert mardi dernier sa session en présence du ministre de la Justice, garde des sceaux, Djimet Arabi.
Le verdict a été lu par le procureur général.
Le procès s'est déroulé en deux phases : la première phase concerne les personnes soupçonnées ou arrêtées pour des actes de terroristes, tandis que la deuxième phase porte sur le cas d'ex-combattants de Boko Haram emprisonnés à la prison de Koro Toro.
Rebelles de l'UFR
S'agissant du premier groupe, huit personnes sont condamnées à la prison à perpétuité, plus de 20 personnes sont condamnées à 20 ans d'emprisonnement ferme, et plus 100 personnes sont condamnées à la peine de 10 ans d'emprisonnement ferme.
La cour a suspendu l'action publique engagée contre une personne décédée en prison, tandis que 24 mineurs inculpés ont été acquittés.
Combattants de Boko Haram
La deuxième phase concerne des combattants affiliés à Boko Haram. La cour a prononcé des peines allant de 10 à 40 ans de prison.
45 éléments sont condamnés à 40 ans d'emprisonnement ferme ; 12 éléments sont condamnés à 10 ans d'emprisonnement ferme et un élément mineur est relaxé.
Neuf présumés combattants ont été relaxés pour manque de preuves, tandis que l'action publique est éteinte à l'encontre de trois autres présumés combattants décédés en prison.
Le verdict a été lu par le procureur général.
Le procès s'est déroulé en deux phases : la première phase concerne les personnes soupçonnées ou arrêtées pour des actes de terroristes, tandis que la deuxième phase porte sur le cas d'ex-combattants de Boko Haram emprisonnés à la prison de Koro Toro.
Rebelles de l'UFR
S'agissant du premier groupe, huit personnes sont condamnées à la prison à perpétuité, plus de 20 personnes sont condamnées à 20 ans d'emprisonnement ferme, et plus 100 personnes sont condamnées à la peine de 10 ans d'emprisonnement ferme.
La cour a suspendu l'action publique engagée contre une personne décédée en prison, tandis que 24 mineurs inculpés ont été acquittés.
Combattants de Boko Haram
La deuxième phase concerne des combattants affiliés à Boko Haram. La cour a prononcé des peines allant de 10 à 40 ans de prison.
45 éléments sont condamnés à 40 ans d'emprisonnement ferme ; 12 éléments sont condamnés à 10 ans d'emprisonnement ferme et un élément mineur est relaxé.
Neuf présumés combattants ont été relaxés pour manque de preuves, tandis que l'action publique est éteinte à l'encontre de trois autres présumés combattants décédés en prison.