Les conseillers de la République membres du Conseil économique, social et culturel (CESC) ont été installés ce vendredi 21 février 2020. La cérémonie a été présidée par le ministre d'Etat, ministre secrétaire général à la Présidence de la République, Kalzeubé Payimi Deubet, représentant le chef de l'Etat.
Maître Philippe Housseini, conseiller juridique du Président de la République, a préalablement lu le décret n° 1532 du 12 septembre 2019 portant nomination des membres du CESC.
Ils sont au total 25 conseillers de la République représentant différentes institutions à savoir : la Chambre de commerce, les secteurs financiers, bancaires et des assurances, le conseil national du patronat tchadien, les organisations syndicales, les associations féminines, les associations des jeunes, des artistes, le monde rural, les organisations non gouvernementales, et les associations des personnes handicapées.
Nommé par le décret n° 1405 du 30 juin 2018, Abdelkerim Ahmadaye Bakhit a été reconduit à la tête du CESC. Il a été réinstallé dans ses fonctions par le ministre d'Etat Kalzeubé Payimi Deubet.
"Je donnerai le meilleur de moi même pour que le CESC qui est un organe consultatif soit à la hauteur des enjeux des pouvoirs publics et législatifs. Quant à vous, conseillers de la République, nous devons nous mettre tous ensemble afin de relever les défis de la République, et les défis qui constituent une entrave de la République", a déclaré Abdelkerim Ahmadaye Bakhit.
Dans sa déclaration, le ministre d'Etat, ministre secrétaire général à la Présidence de la République, Kalzeubé Payimi Debeut, a affirmé que le CESC "est une institution constitutionnelle de notre pays dont nul n'ignore l'importance de la mission qui est définie aussi bien par la constitution, que par la loi organique n° 022/PR/2018 portant ses attributions, son organisation et son fonctionnement."
Il a appelé la nouvelle équipe à travailler avec courage, ardeur, discipline et surtout avec amour de la patrie.
Le CESC, en tant qu'organe consultatif, peut procéder à l'analyse de tout problème de développement économique, social, culturel, ou environnemental, et soumettre ses conclusions au Président de la République.
Il peut aussi donner des avis en matière économique, social et culturel qui seront portés à l'examen par le Président de la République et par le Président de l'Assemblée nationale.
Maître Philippe Housseini, conseiller juridique du Président de la République, a préalablement lu le décret n° 1532 du 12 septembre 2019 portant nomination des membres du CESC.
Ils sont au total 25 conseillers de la République représentant différentes institutions à savoir : la Chambre de commerce, les secteurs financiers, bancaires et des assurances, le conseil national du patronat tchadien, les organisations syndicales, les associations féminines, les associations des jeunes, des artistes, le monde rural, les organisations non gouvernementales, et les associations des personnes handicapées.
Nommé par le décret n° 1405 du 30 juin 2018, Abdelkerim Ahmadaye Bakhit a été reconduit à la tête du CESC. Il a été réinstallé dans ses fonctions par le ministre d'Etat Kalzeubé Payimi Deubet.
"Je donnerai le meilleur de moi même pour que le CESC qui est un organe consultatif soit à la hauteur des enjeux des pouvoirs publics et législatifs. Quant à vous, conseillers de la République, nous devons nous mettre tous ensemble afin de relever les défis de la République, et les défis qui constituent une entrave de la République", a déclaré Abdelkerim Ahmadaye Bakhit.
Dans sa déclaration, le ministre d'Etat, ministre secrétaire général à la Présidence de la République, Kalzeubé Payimi Debeut, a affirmé que le CESC "est une institution constitutionnelle de notre pays dont nul n'ignore l'importance de la mission qui est définie aussi bien par la constitution, que par la loi organique n° 022/PR/2018 portant ses attributions, son organisation et son fonctionnement."
Il a appelé la nouvelle équipe à travailler avec courage, ardeur, discipline et surtout avec amour de la patrie.
Le CESC, en tant qu'organe consultatif, peut procéder à l'analyse de tout problème de développement économique, social, culturel, ou environnemental, et soumettre ses conclusions au Président de la République.
Il peut aussi donner des avis en matière économique, social et culturel qui seront portés à l'examen par le Président de la République et par le Président de l'Assemblée nationale.