Un décret (n°324), signé par le Président de la République radie deux officiers du contrôle des effectifs de l'armée, sur proposition du ministre délégué à la Présidence, chargé de la Défense.
Les officers dont les noms suivent sont cassés au grade de deuxième classe et radiés des effectifs des forces de défense et de sécurité : Colonel Moussa Souleymane Bachar (matricule n°20030402) et Capitaine Sebi Ahmat Beguera (matricule n°20063877).
Les intéressés n'auront droit ni à une pension de retraite, ni pension de réformation, ni indemnités compensatrices.
Par ailleurs, un arrêté (n°165) pris par le ministre délégué à la Défense et aux anciens combattants, porte radiation de deux sous-officiers des forces armées et de sécurité.
Les sous-officiers sont cassés au rang de deuxième classe et radiés des forces de défense et de sécurité : Il s'agit de l'adjudant Aberdamrane Djeroua Djikou et du sergent Ousmane Youssouf Abakar (matricule n°12091660).
Ces radiations interviennent plusieurs jours après l'attaque contre un convoi de détenus.
"Il y a surement d'autres personnes qui sont dans la nature. Il y a toute une chaine de complicité que nous soupçonnons", a affirmé ce soir le ministre de la Justice, Ahmat Mahamat Hassan.
Les officers dont les noms suivent sont cassés au grade de deuxième classe et radiés des effectifs des forces de défense et de sécurité : Colonel Moussa Souleymane Bachar (matricule n°20030402) et Capitaine Sebi Ahmat Beguera (matricule n°20063877).
Les intéressés n'auront droit ni à une pension de retraite, ni pension de réformation, ni indemnités compensatrices.
Par ailleurs, un arrêté (n°165) pris par le ministre délégué à la Défense et aux anciens combattants, porte radiation de deux sous-officiers des forces armées et de sécurité.
Les sous-officiers sont cassés au rang de deuxième classe et radiés des forces de défense et de sécurité : Il s'agit de l'adjudant Aberdamrane Djeroua Djikou et du sergent Ousmane Youssouf Abakar (matricule n°12091660).
Ces radiations interviennent plusieurs jours après l'attaque contre un convoi de détenus.
"Il y a surement d'autres personnes qui sont dans la nature. Il y a toute une chaine de complicité que nous soupçonnons", a affirmé ce soir le ministre de la Justice, Ahmat Mahamat Hassan.