Hadjé Fatime Ali, la propriétaire du terrain en question.
N'DJAMENA (Alwihda Info) - Du nouveau dans l'affaire de vente de terrain qui oppose les membres d’une même famille à la justice et qui implique l'actuel ministre de la Justice, le notaire Maitre Béchir Madet, accusé d'usage de faux. Auditionnés le 24 janvier dernier par la chambre civile de la cour d'Appel de N'Djamena, les plaidants ont été convoqués aujourd'hui. La fille Zenab Terap a fait jurer sa propre mère Hadjé Fatimé Ali sur le livre saint Coran. L'affaire est renvoyée au 14 février prochain.
Abdoulaye Delil affirme avoir été menacé aujourd'hui au Palais de Justice où l'audience se déroule actuellement. « Je sens une insécurité totale », affirme-t-il. Il ajoute que "c'est une insulte à la religion".
Les faits sont complexes mais compréhensibles. Un citoyen du nom Abdoulaye Delil Terap a saisie la justice concernant un faux de vente de terrain de sa mère Hadjé Fatimé Ali, situé au quartier Repos de N’djamena, section 3, ilot 4 et lot 5 d’une superficie de 450 m2. Cette plainte, en réalité est dressée contre Zénéba Terap, la fille de Hadjé Fatimé qui aurait confectionné des faux documents pour s’approprier du terrain de sa mère. Cette dernière avance des allégations comme quoi, elle a envoyé de l’argent depuis l’Arabie-Saoudite à son frère pour l’achat du terrain au nom de sa maman (Hadjé Fatimé). Sa mère, représenté par son fils Abdoulaye Delil Térap justifie que le terrain appartient bel et bien à la vieille. Depuis, les choses deviennent confuses et complexes dans la famille.
Abdoulaye Delil affirme avoir été menacé aujourd'hui au Palais de Justice où l'audience se déroule actuellement. « Je sens une insécurité totale », affirme-t-il. Il ajoute que "c'est une insulte à la religion".
Les faits sont complexes mais compréhensibles. Un citoyen du nom Abdoulaye Delil Terap a saisie la justice concernant un faux de vente de terrain de sa mère Hadjé Fatimé Ali, situé au quartier Repos de N’djamena, section 3, ilot 4 et lot 5 d’une superficie de 450 m2. Cette plainte, en réalité est dressée contre Zénéba Terap, la fille de Hadjé Fatimé qui aurait confectionné des faux documents pour s’approprier du terrain de sa mère. Cette dernière avance des allégations comme quoi, elle a envoyé de l’argent depuis l’Arabie-Saoudite à son frère pour l’achat du terrain au nom de sa maman (Hadjé Fatimé). Sa mère, représenté par son fils Abdoulaye Delil Térap justifie que le terrain appartient bel et bien à la vieille. Depuis, les choses deviennent confuses et complexes dans la famille.
Convaincue d’entrer en possession du terrain par tous les moyens, Zénéba Terap, aurait falsifié les pièces de sa mère pour se rendre justice. Dans sa manœuvre, elle a embarqué le cabinet de Me Béchir Madet. Ce dernier aurait signé, en son temps, une attestation de vente de terrain à celle-ci avec des pièces supposées fausse d’identité qui certifie une nommée Hadjé Fatimé Ali. L’affaire devient alors embrouillant à tous les angles au point où les cabinets des avocats déclinent la défense. Et même les magistrats se lassent de l’affaire, semble-t-il. Hadjé Fatimé Ali, sous couvert de son fils Abdoulaye Terap, ont pour conseil, d’abord, le cabinet de Me Belkoulayo qui aurait renoncé au dossier. Et en suite, le cabinet Mahamat Hassan de décliner et recensement c’est le tour de cabinet Abdou qui se déclare incompétent sur le dossier.
Le sieur Abdoulaye, par procuration de sa Mère aurait porté plainte contre Me Béchir Madet, l’Actuel Ministre de la justice pour usage de faux. Mais le dossier fait de surplace à la justice et est resté sans suite. Il est même classé sans suite parait-il, selon une source d’Alwihda. Ce dernier accuse, le notaire, maintenant le chef de département de la justice tchadienne Me Béchir Madé de complice d’usage de faux.