Les forces de l'ordre lors de l'opération anti-terroriste au 8ème arrondissement de N'Djamena. Alwihda Info/D.W.W.
L’opération policière du 29 juin dernier visant à démanteler une cellule terroriste a causé la mort des policiers pour des nombreuses raisons:
1. La police ne dispose pas d’une unité tactique d’intervention anti-terroriste ou antigang, on a envoyé la GMIP, une unité anti-émeute (grave erreur)
2. Plusieurs policiers qui ne faisaient pas partie de l’opération étaient sur les lieux pour « flâner », leur tokaï(Talkie-walkie) grisaillaient au vent;
3. On a dû attendre l’heure légale pour frapper à la porte des terroristes (toc toc, c’est la police, ouvrez la porte!) pour signaler que c’est la police (grave erreur d’interprétation du tempérament des terroristes qui n’attendent que des telles occasions pour s’exploser);
4. Au lieu d’envoyer uniquement des policiers chargés de mener l’opération, on a aussi fait appel aux enquêteurs (Une autre bourde, du pur amateurisme : les enquêteurs ne doivent être sur les lieux qu’une fois l’opération tactique de démantèlement de la cellule terminée);
5. plusieurs policiers ne faisant pas partie de l’opération étant sur place (qui a fait circuler la nouvelle? Que faisaient-ils là?)
6. Pourquoi attendre l’heure légale pour investir la maison? Les responsables de la police doivent savoir une chose : il y a des exceptions pour les procédures (opérations) concernant les stupéfiants et en matière de terrorisme. La police a-t-elle le droit de pénétrer chez quelqu’un à n’importe quelle heure de la nuit? En règle générale non, sauf dans certains cas prévus par la loi et sur autorisation préalable d’un magistrat.
1. La police ne dispose pas d’une unité tactique d’intervention anti-terroriste ou antigang, on a envoyé la GMIP, une unité anti-émeute (grave erreur)
2. Plusieurs policiers qui ne faisaient pas partie de l’opération étaient sur les lieux pour « flâner », leur tokaï(Talkie-walkie) grisaillaient au vent;
3. On a dû attendre l’heure légale pour frapper à la porte des terroristes (toc toc, c’est la police, ouvrez la porte!) pour signaler que c’est la police (grave erreur d’interprétation du tempérament des terroristes qui n’attendent que des telles occasions pour s’exploser);
4. Au lieu d’envoyer uniquement des policiers chargés de mener l’opération, on a aussi fait appel aux enquêteurs (Une autre bourde, du pur amateurisme : les enquêteurs ne doivent être sur les lieux qu’une fois l’opération tactique de démantèlement de la cellule terminée);
5. plusieurs policiers ne faisant pas partie de l’opération étant sur place (qui a fait circuler la nouvelle? Que faisaient-ils là?)
6. Pourquoi attendre l’heure légale pour investir la maison? Les responsables de la police doivent savoir une chose : il y a des exceptions pour les procédures (opérations) concernant les stupéfiants et en matière de terrorisme. La police a-t-elle le droit de pénétrer chez quelqu’un à n’importe quelle heure de la nuit? En règle générale non, sauf dans certains cas prévus par la loi et sur autorisation préalable d’un magistrat.