Les intervenants, Abakar Djoufoune, président de l’association des enfants de Toumaï pour le développement du Tchad, Mariam Sabir Khariffene, conseillère de l’association humanitaire Al-Moussa’ada et Mahamat Nour Adoum Sougoumi ont échangé avec les jeunes sur la question de la cohabitation pacifique et les intérêts du vivre-ensemble.
Les intervenants se sont beaucoup plus penchés sur les événements du 20 octobre dernier qui ont failli faire sombrer le pays. Ils ont également évoqué les questions politiques, la guerre, la mauvaise gouvernance et les conflits entre agriculteurs et éleveurs.
Comme solutions, ils ont proposé la dépolitisation de la société civile, des institutions de la République, des collectivités territoriales décentralisées et l’implication de l’État dans le processus de paix et de cohabitation pacifique dans la justice et l’égalité.
Pour les jeunes, la non implication de jeunes dans la prise de décision et la gestion de la chose publique, le népotisme, la mauvaise gestion, la mauvaise gouvernance et l’utilisation de la jeunesse aux fins politiques sont les causes des problèmes entre les tchadiens.
Des propositions ont étés faites par les jeunes aux organisateurs de cette conférence pour sortir le Tchad de son état actuel. Ils proposent d’intensifier la campagne de vivre-ensemble dans toutes les provinces et dans les établissements publics tout en impliquant les leaders concernés. Pour eux, le Rwanda doit servir d’exemple.
Les organisateurs quant eux exhortent la jeunesse à commencer à cultiver la paix dans son milieu respectif pour servir d’exemple aux autres.
Les intervenants se sont beaucoup plus penchés sur les événements du 20 octobre dernier qui ont failli faire sombrer le pays. Ils ont également évoqué les questions politiques, la guerre, la mauvaise gouvernance et les conflits entre agriculteurs et éleveurs.
Comme solutions, ils ont proposé la dépolitisation de la société civile, des institutions de la République, des collectivités territoriales décentralisées et l’implication de l’État dans le processus de paix et de cohabitation pacifique dans la justice et l’égalité.
Pour les jeunes, la non implication de jeunes dans la prise de décision et la gestion de la chose publique, le népotisme, la mauvaise gestion, la mauvaise gouvernance et l’utilisation de la jeunesse aux fins politiques sont les causes des problèmes entre les tchadiens.
Des propositions ont étés faites par les jeunes aux organisateurs de cette conférence pour sortir le Tchad de son état actuel. Ils proposent d’intensifier la campagne de vivre-ensemble dans toutes les provinces et dans les établissements publics tout en impliquant les leaders concernés. Pour eux, le Rwanda doit servir d’exemple.
Les organisateurs quant eux exhortent la jeunesse à commencer à cultiver la paix dans son milieu respectif pour servir d’exemple aux autres.