Au Tchad, l'administration publique commence progressivement à permettre à une partie de son personnel de ne pas venir au travail et rester chez soi, pour ne garder qu'un staff réduit de travail. De même, les visites des usagers sont limitées. Ces mesures visent à éviter de trop grands rassemblements qui pourraient favoriser la propagation du coronavirus.
Mercredi, le ministère de l'Economie et de la Planification du développement a demandé aux responsables de son département et démembrements de libérer le personnel non essentiel. Seuls les "décrétés" ont été priés de se rendre régulièrement au travail avec un staff réduit.
Le ministère a également suspendu jusqu'à nouvel ordre les visites, et a interdit "tout attroupement devant et dans la cour."
Pour sa part, le ministère de la Fonction publique, du Travail et du Dialogue social a suspendu depuis mardi les demandes de renseignements et le suivi des dossiers, jusqu'à nouvel ordre, pour éviter les attroupements des usagers.
"Cette mesure qui est liée à la pandémie de coronavirus vise à protéger aussi bien le personnel de ce département ministériel que les usagers contre toute contamination sur le lieu de travail", précise la direction générale du ministère.
A la direction générale des services du Trésor et de la comptabilité publique, le directeur a demandé de mettre en congé, avec solde, tous les agents dont la présence n'est pas indispensable, selon une note circulaire.
L'Assemblée nationale a pour sa part informé lundi aux députés et au personnel qui auraient effectués un séjour en dehors du Tchad et qui seraient rentrés avant la date du 21 mars dernier, qu'ils sont dispensés de séance pendant 15 jours.
"S'agissant de ceux qui se trouveraient actuellement à l’intérieur du territoire national, ils sont invités à maintenir leur position jusqu’à la levée des mesures prises par le Gouvernement pour faire face à la pandémie du coronavirus", a précisé le 3ème vice-président de l'Assemblée nationale, député Yobombé Madjitoloum Théophile.
D'autres administrations publiques ont pris des mesures similaires ou envisagent de le faire, pour ne garder qu'une équipe réduite permettant d'assurer la continuité.
Mercredi, le ministère de l'Economie et de la Planification du développement a demandé aux responsables de son département et démembrements de libérer le personnel non essentiel. Seuls les "décrétés" ont été priés de se rendre régulièrement au travail avec un staff réduit.
Le ministère a également suspendu jusqu'à nouvel ordre les visites, et a interdit "tout attroupement devant et dans la cour."
Pour sa part, le ministère de la Fonction publique, du Travail et du Dialogue social a suspendu depuis mardi les demandes de renseignements et le suivi des dossiers, jusqu'à nouvel ordre, pour éviter les attroupements des usagers.
"Cette mesure qui est liée à la pandémie de coronavirus vise à protéger aussi bien le personnel de ce département ministériel que les usagers contre toute contamination sur le lieu de travail", précise la direction générale du ministère.
A la direction générale des services du Trésor et de la comptabilité publique, le directeur a demandé de mettre en congé, avec solde, tous les agents dont la présence n'est pas indispensable, selon une note circulaire.
L'Assemblée nationale a pour sa part informé lundi aux députés et au personnel qui auraient effectués un séjour en dehors du Tchad et qui seraient rentrés avant la date du 21 mars dernier, qu'ils sont dispensés de séance pendant 15 jours.
"S'agissant de ceux qui se trouveraient actuellement à l’intérieur du territoire national, ils sont invités à maintenir leur position jusqu’à la levée des mesures prises par le Gouvernement pour faire face à la pandémie du coronavirus", a précisé le 3ème vice-président de l'Assemblée nationale, député Yobombé Madjitoloum Théophile.
D'autres administrations publiques ont pris des mesures similaires ou envisagent de le faire, pour ne garder qu'une équipe réduite permettant d'assurer la continuité.