Les établissements d'enseignement sont fermés depuis 16 jours sur l'ensemble du territoire tchadien, une mesure prise par les autorités pour empêcher toute propagation de la pandémie du COVID-19.
Cette situation suscite de nombreuses préoccupations eu égard aux effets que cela peut avoir sur le secteur de l'enseignement. Si de nombreux pays ont commencé à se tourner vers des alternatives numériques pour maintenir un minimum d'enseignement, la fracture numérique se révèle être un frein au Tchad.
Dans son message adressé à la Nation il y a 12 jours, le chef de l'Etat a appelé les ministères concernés à réfléchir et à proposer "un scénario réaliste et adapté pour permettre aux enfants d’achever leur année académique dans de bonnes conditions lorsque la situation sera rétablie."
"Nous mesurons pleinement les effets d’une plus ou moins longue période d’inactivité sur le calendrier scolaire et la consolidation des apprentissages", a dit Déby.
De l'avis du président d'Internet Society, Tidjani Mahamat Adoum, plusieurs alternatives peuvent contribuer à la poursuite de l'enseignement, notamment à travers les ondes des radios où des cours peuvent être donnés aux étudiants.
"Il y a aussi la télé, qui est déjà un exemple essayé par nos voisins du Niger (...) Ils ont déjà commencé à diffuser des cours à travers les télévisions et les étudiants n'ont pas de problème", souligne Tidjani Mahamat Adoum.
La troisième possibilité est d'utiliser les téléphones, à travers les SMS pour partager les cours, faire des entrainements, des rédactions ou engager des apprentissages en calcul, estime le président d'Internet Society, Tidjani Mahamat Adoum.
A ces propositions, il ajoute les cours en ligne via l'utilisation des réseaux sociaux ou des applications mobiles dédiées.
Toutefois, "le premier premier appel doit être entendu, celui de réduire considérablement le coût d'accès ou de rendre gratuit l'accessibilité à internet", plaide Mahamat Adoum.
Cette situation suscite de nombreuses préoccupations eu égard aux effets que cela peut avoir sur le secteur de l'enseignement. Si de nombreux pays ont commencé à se tourner vers des alternatives numériques pour maintenir un minimum d'enseignement, la fracture numérique se révèle être un frein au Tchad.
Dans son message adressé à la Nation il y a 12 jours, le chef de l'Etat a appelé les ministères concernés à réfléchir et à proposer "un scénario réaliste et adapté pour permettre aux enfants d’achever leur année académique dans de bonnes conditions lorsque la situation sera rétablie."
"Nous mesurons pleinement les effets d’une plus ou moins longue période d’inactivité sur le calendrier scolaire et la consolidation des apprentissages", a dit Déby.
De l'avis du président d'Internet Society, Tidjani Mahamat Adoum, plusieurs alternatives peuvent contribuer à la poursuite de l'enseignement, notamment à travers les ondes des radios où des cours peuvent être donnés aux étudiants.
"Il y a aussi la télé, qui est déjà un exemple essayé par nos voisins du Niger (...) Ils ont déjà commencé à diffuser des cours à travers les télévisions et les étudiants n'ont pas de problème", souligne Tidjani Mahamat Adoum.
La troisième possibilité est d'utiliser les téléphones, à travers les SMS pour partager les cours, faire des entrainements, des rédactions ou engager des apprentissages en calcul, estime le président d'Internet Society, Tidjani Mahamat Adoum.
A ces propositions, il ajoute les cours en ligne via l'utilisation des réseaux sociaux ou des applications mobiles dédiées.
Toutefois, "le premier premier appel doit être entendu, celui de réduire considérablement le coût d'accès ou de rendre gratuit l'accessibilité à internet", plaide Mahamat Adoum.