La ville de Pala, chef-lieu du Mayo Kebbi Ouest. Illustration. © F.M./Alwihda Info
Des étudiants rentrés clandestinement il y a quelques jours au village Sorga, dans le Mayo Kebbi Ouest, en provenance du Cameroun, ont été mis en quatorzaine par précaution. Il s'agit de sept garçons et une fille.
Les huit jeunes sont confinés à l'école primaire du village pendant une période d'incubation de 14 jours.
"Avant-hier, le 31 mars 2020, nous avons reçu les informations selon lesquelles ces étudiants sont rentrés frauduleusement du Cameroun, précisement de Yaoundé, Ngaoundéré et Maroua. Aussitôt, j'ai convoqué les intéressés pour les isoler", explique le chef de village Irmane Ari Blaise, joint ce soir par Alwihda Info.
Il a ensuite informé son chef hiérarchique, en l'occurence le sous-préfet qui à son tour, a saisi les responsables médicaux.
Hier soir, une équipe a été dépêchée pour les premiers tests. "Ils leur ont posé aussi des questions pour s'imprégner de leur provenance. Ils ont décidé séance tenante que ceux-là soient isolés", précise le chef de village Irmane Ari Blaise.
Le chef de village a demandé aux parents de ne pas s'approcher de leurs enfants.
Pour leur part, les étudiants ont commencé à se plaindre de leurs conditions, et ont demandé à ce que de la nourriture, des nattes et couvertures leurs soient apportées.
Les huit jeunes sont confinés à l'école primaire du village pendant une période d'incubation de 14 jours.
"Avant-hier, le 31 mars 2020, nous avons reçu les informations selon lesquelles ces étudiants sont rentrés frauduleusement du Cameroun, précisement de Yaoundé, Ngaoundéré et Maroua. Aussitôt, j'ai convoqué les intéressés pour les isoler", explique le chef de village Irmane Ari Blaise, joint ce soir par Alwihda Info.
Il a ensuite informé son chef hiérarchique, en l'occurence le sous-préfet qui à son tour, a saisi les responsables médicaux.
Hier soir, une équipe a été dépêchée pour les premiers tests. "Ils leur ont posé aussi des questions pour s'imprégner de leur provenance. Ils ont décidé séance tenante que ceux-là soient isolés", précise le chef de village Irmane Ari Blaise.
Le chef de village a demandé aux parents de ne pas s'approcher de leurs enfants.
Pour leur part, les étudiants ont commencé à se plaindre de leurs conditions, et ont demandé à ce que de la nourriture, des nattes et couvertures leurs soient apportées.