Lors d’une conférence de presse tenue le mercredi 8 février 2017,au siège du Parti Démocratique du Peuple Tchadien, sis au quartier Walia dans le 9 ème Arrondissement de la ville de N’Djamena, sous le sujet « Tchad : la Démocratie en danger », le Cadre de Concertation des Partis Politiques de l’Opposition Démocratique (CCPPOD) et la Coordination de
l’Opposition Politique pour le Redressement de l’Alternance Démocratique (COPRAD) se révoltent contre le rallongement du mandat des actuels députés et le silence complice du Cadre National de Dialogue Politique (CNDP) et enfin la cherté de vie.
Ces deux rassemblements politique sont contre la prorogation de l’actuelle législature et demandent la suppression du CNDP. Quand au porte parole du CCPPOD, le candidat malheureux de la dernière élection présidentielle le député Djimet Clement Bagaou, les gaucheries auxquelles le Tchad fait face présentement est d’ordre conjoncturel et ne pourraient justifier un élargissement du mandat de l’actuel législature.
Supprimer certaines institutions
Pour le CCPPOD et COPRAD, cette prolongation est obtenue avec la complicité de certains députés de l’opposition. Pour ces deux corporations, la crise financière qui frappe actuellement de plein fouet trouvera sa solution dans la suppression de certaines institutions budgétivores de l’Etat tels que le Conseil Economique, Social et Culturel, le Haut Conseil de la Communication, le Collège de Contrôle et de Surveillance des Ressources Pétrolières , le Cadre National de Dialogue Politique, la Haute Cour de Justice et l’Inspection Générale d’Etat, a déclaré M Djmet Clement Bagaou.
Selon M Modeste Ngaroyal de la COPRAD « le CNDP ne vit pas et devrait disparaitre parce qu’il n’est qu’une institution protocolaire entre le président de la république et le premier ministre ». Il s’appuie sur le fait que les tchadiens ont trop souffert et qu’il faut supprimer certaines institutions au profit du peuple.
Ils mettent en garde contre "une crise à outrance" à l'horizon
"En dépit de constantes violations de l’article 21 de la constitution, le régime en place, appuyé par de supposés élus du peuple, a décidé d’enterrer la démocratie et le peuple tchadien légitime dépositaire du pouvoir, en votant des lois anticonstitutionnelles et antisociales, à l’exemple de celle qui supprime le droit de grève et la loi de finances 2017. La loi de finances 2017 impose au peuple tchadien une hausse du prix des hydrocarbures, de délivrance de la carte nationale
d’identité et du passeport, de la taxe civique", relève M Djimet Clement Bagaou président du PDPT.
Ils exigent que les prix de ces services soient revus à la baisse, dès le prochain collectif budgétaire. « Les droits humains sont, constamment violés. Du semblant de démocratie, on recule vers la dictature. Les responsables menacent la démocratie et prennent des décisions à la place du peuple », à lancé M Modeste Ngaroyal. Il prédit une crise à outrance en 2017.
l’Opposition Politique pour le Redressement de l’Alternance Démocratique (COPRAD) se révoltent contre le rallongement du mandat des actuels députés et le silence complice du Cadre National de Dialogue Politique (CNDP) et enfin la cherté de vie.
Ces deux rassemblements politique sont contre la prorogation de l’actuelle législature et demandent la suppression du CNDP. Quand au porte parole du CCPPOD, le candidat malheureux de la dernière élection présidentielle le député Djimet Clement Bagaou, les gaucheries auxquelles le Tchad fait face présentement est d’ordre conjoncturel et ne pourraient justifier un élargissement du mandat de l’actuel législature.
Supprimer certaines institutions
Pour le CCPPOD et COPRAD, cette prolongation est obtenue avec la complicité de certains députés de l’opposition. Pour ces deux corporations, la crise financière qui frappe actuellement de plein fouet trouvera sa solution dans la suppression de certaines institutions budgétivores de l’Etat tels que le Conseil Economique, Social et Culturel, le Haut Conseil de la Communication, le Collège de Contrôle et de Surveillance des Ressources Pétrolières , le Cadre National de Dialogue Politique, la Haute Cour de Justice et l’Inspection Générale d’Etat, a déclaré M Djmet Clement Bagaou.
Selon M Modeste Ngaroyal de la COPRAD « le CNDP ne vit pas et devrait disparaitre parce qu’il n’est qu’une institution protocolaire entre le président de la république et le premier ministre ». Il s’appuie sur le fait que les tchadiens ont trop souffert et qu’il faut supprimer certaines institutions au profit du peuple.
Ils mettent en garde contre "une crise à outrance" à l'horizon
"En dépit de constantes violations de l’article 21 de la constitution, le régime en place, appuyé par de supposés élus du peuple, a décidé d’enterrer la démocratie et le peuple tchadien légitime dépositaire du pouvoir, en votant des lois anticonstitutionnelles et antisociales, à l’exemple de celle qui supprime le droit de grève et la loi de finances 2017. La loi de finances 2017 impose au peuple tchadien une hausse du prix des hydrocarbures, de délivrance de la carte nationale
d’identité et du passeport, de la taxe civique", relève M Djimet Clement Bagaou président du PDPT.
Ils exigent que les prix de ces services soient revus à la baisse, dès le prochain collectif budgétaire. « Les droits humains sont, constamment violés. Du semblant de démocratie, on recule vers la dictature. Les responsables menacent la démocratie et prennent des décisions à la place du peuple », à lancé M Modeste Ngaroyal. Il prédit une crise à outrance en 2017.