Fleuve Chari, Tchad, 2003. Crédit photo : mediatheque.francophonie.org
Les jours passent, l'insécurité s'accroit dans la ville de N'Djamena. Elle a atteint son paroxysme. On dénombre le bilan macabre de nos concitoyens assassinés, soit pour leur engin, soit pour d'autres mobiles inconnus.
Les forces de l'ordre ont repêché ce matin, sur le bras du fleuve chari, le corps d'un homme probablement tué et jeté dans la nuit du jeudi 23, dans le fleuve chari. D'après des sources securitaires, ses bourreaux l'ont sévit en cassant son coup avant de le jeter. Le corps de la victime n'est pas décomposé même si son nez saignait de sang et quelques signes de tortures apparaissent sur le corps. La victime est âgée d'une trentaine d'années et ne dispose d'aucune pièce d'identité sur elle.
Le premier substitut du procureur de la republique M. Ngomassinat Sou a demandé à la population de Walia s'ils connaissent la victime ; Réponse négative des habitants qui lui ont fait savoir que la victime n'est pas un habitant de leur terroir. Il a ordonne aux forces de l'ordre de transférer le corps à la morgue.
Un deuxième corps retrouvé en état de décomposition avancée
Un autre corps d'un homme, la quarantaine, mort noyé dans la nuit de jeudi 24, sur le bras du fleuve, tout près du Pont à double voie d'habena, a été repêché ce matin du fleuve. Le corps de la victime est en état de decomposition avancée.
La victime a arraché, dans la nuit de jeudi, le portefeuille d'une dame sur le Pont à double voies avant d'être poursuivie par la police. Pour échapper à l'arrestation par les forces de l'ordre, elle a préféré trouver refuge dans le fleuve d'après des sources concordantes recueillies par Alwihda Info. Le premier substitut du Procureur de la république a ordonné l'enterrement de la victime, ne disposant d'aucune pièce sachant que le corps était dans un état de decomposition avancée.
Les forces de l'ordre ont repêché ce matin, sur le bras du fleuve chari, le corps d'un homme probablement tué et jeté dans la nuit du jeudi 23, dans le fleuve chari. D'après des sources securitaires, ses bourreaux l'ont sévit en cassant son coup avant de le jeter. Le corps de la victime n'est pas décomposé même si son nez saignait de sang et quelques signes de tortures apparaissent sur le corps. La victime est âgée d'une trentaine d'années et ne dispose d'aucune pièce d'identité sur elle.
Le premier substitut du procureur de la republique M. Ngomassinat Sou a demandé à la population de Walia s'ils connaissent la victime ; Réponse négative des habitants qui lui ont fait savoir que la victime n'est pas un habitant de leur terroir. Il a ordonne aux forces de l'ordre de transférer le corps à la morgue.
Un deuxième corps retrouvé en état de décomposition avancée
Un autre corps d'un homme, la quarantaine, mort noyé dans la nuit de jeudi 24, sur le bras du fleuve, tout près du Pont à double voie d'habena, a été repêché ce matin du fleuve. Le corps de la victime est en état de decomposition avancée.
La victime a arraché, dans la nuit de jeudi, le portefeuille d'une dame sur le Pont à double voies avant d'être poursuivie par la police. Pour échapper à l'arrestation par les forces de l'ordre, elle a préféré trouver refuge dans le fleuve d'après des sources concordantes recueillies par Alwihda Info. Le premier substitut du Procureur de la république a ordonné l'enterrement de la victime, ne disposant d'aucune pièce sachant que le corps était dans un état de decomposition avancée.