Les policiers ont tiré des lacrymogènes ayant atteint les chiffons de bus de transport des étudiants, ce qui serait à l'origine de l'incendie d'un bus des étudiants.
Les étudiants de l'université de NDjamena n'étant pas directement impliqués dans le mouvement d'humeur des élèves, qui composent leur examen quand la police a lancé des gaz lacrymogènes au sein de la Faculté d'Ardebjoumal, croyant que ces derniers hébergeaient les élèves rescapés du lycée Félix Eboue.
D'après une autre source, la police a violemment dispersé les élèves du Lycée de la Liberté afin d'aller renforcer un autre dispositif qui fait face à une résistance farouche des élèves du Lycée Goudje, communément appelé Tramol.
Les élèves se constituent en petit groupe, disparaissent pour apparaître dans un endroit où la police ne s'y trouve pas, pour obliger les motocyclistes à se débarrasser de leur casques. Cette tactique de mobilité des élèves ne permet pas à la police de les maîtriser.
La circulation est perturbée dans certains endroits de la capitale Tchadienne.
Les étudiants de l'université de NDjamena n'étant pas directement impliqués dans le mouvement d'humeur des élèves, qui composent leur examen quand la police a lancé des gaz lacrymogènes au sein de la Faculté d'Ardebjoumal, croyant que ces derniers hébergeaient les élèves rescapés du lycée Félix Eboue.
D'après une autre source, la police a violemment dispersé les élèves du Lycée de la Liberté afin d'aller renforcer un autre dispositif qui fait face à une résistance farouche des élèves du Lycée Goudje, communément appelé Tramol.
Les élèves se constituent en petit groupe, disparaissent pour apparaître dans un endroit où la police ne s'y trouve pas, pour obliger les motocyclistes à se débarrasser de leur casques. Cette tactique de mobilité des élèves ne permet pas à la police de les maîtriser.
La circulation est perturbée dans certains endroits de la capitale Tchadienne.