D’entrée de jeu, le président de l’Ordre National des Architectes du Tchad Senoussi Ahmat Senoussi d’indiqué que, pour être architecte il faut avoir au minimum un diplôme de 3ième cycle qui équivaut à BAC+5 et deux (2) ans d’expérience avant de s’inscrire que le dossier soit transmis au comité pour être validé. Selon le secrétaire général de l’ordre Freeman Ngaguédeba, le premier tableau parut en 2012 contenait 38 architectes. En 2017, le tableau comprend 57 architectes agrées figure dans le deuxième tableau sur toute l’entendu du territoire national d’exercer le métier de l’architecte en toute l’égalité. Il souligne que, 50 architectes c’est peu pour un pays comme le Tchad qui a besoin du cadre du domaine pour le développement de ces infrastructures. « Chaque jour, nous nous battons pour que notre profession soit respectée, aujourd’hui beaucoup de personnes qui ne sont forcement liées à la profession exerce notre métier ». Ce tableau permet d’identifier chaque architecte agréé, chaque professionnel des bâtiments pour que chacun puisse respecter le décret qui régit la profession a-t-il précisé.
L’Ordre National des Architectes du Tchad prévoit une caravane à travers un grand nombre des établissements scolaires à encourager les jeunes garçons comme filles d’aimer d’exercer en projection le métier d’architecte, un métier d’avenir, un métier libéral pour répondre au besoin du pays et de la population selon les conférenciers.
Un bureau composé de huit (8) membres a été mis sur pied. Président de l’Ordre Senoussi Ahmat Senoussi, Freeman Ngaguedeba en est le secrétaire général. Ce bureau a pour un mandat de deux (2) ans, à travers ce mandat la mise en application du plan d’action qui a été validée lors des leurs différentes assemblées générales. Le bureau actuel selon l’histoire de leur organisation c’est le deuxième bureau après la création de l’ordre en 2012 par décret du chef de l’Etat.
L’Ordre National des Architectes du Tchad par décret du président de la République dans son article 3 : Est qualifié architecte, le titulaire d’un diplôme de troisième cycle en architecture délivré par une institution d’enseignement supérieur reconnue par l’Etat, dans son article 7 : Nul ne peut exercer la profession d’architecte au Tchad, s’il n’est pas inscrit à et avoir son domicile professionnel et enfin l’article 84 du même code dit que les architectes étrangers agréés ne peuvent être inscrits à titre individuel à l’ONAT mais seulement en association avec au moins un architecte tchadien participant à cinquante pour cent (50%) dans leur association. Cette inscription est subordonnée à la garantie de réciprocité donnée par les autorités du pays d’origine du postulant.
L’Ordre National des Architectes du Tchad prévoit une caravane à travers un grand nombre des établissements scolaires à encourager les jeunes garçons comme filles d’aimer d’exercer en projection le métier d’architecte, un métier d’avenir, un métier libéral pour répondre au besoin du pays et de la population selon les conférenciers.
Un bureau composé de huit (8) membres a été mis sur pied. Président de l’Ordre Senoussi Ahmat Senoussi, Freeman Ngaguedeba en est le secrétaire général. Ce bureau a pour un mandat de deux (2) ans, à travers ce mandat la mise en application du plan d’action qui a été validée lors des leurs différentes assemblées générales. Le bureau actuel selon l’histoire de leur organisation c’est le deuxième bureau après la création de l’ordre en 2012 par décret du chef de l’Etat.
L’Ordre National des Architectes du Tchad par décret du président de la République dans son article 3 : Est qualifié architecte, le titulaire d’un diplôme de troisième cycle en architecture délivré par une institution d’enseignement supérieur reconnue par l’Etat, dans son article 7 : Nul ne peut exercer la profession d’architecte au Tchad, s’il n’est pas inscrit à et avoir son domicile professionnel et enfin l’article 84 du même code dit que les architectes étrangers agréés ne peuvent être inscrits à titre individuel à l’ONAT mais seulement en association avec au moins un architecte tchadien participant à cinquante pour cent (50%) dans leur association. Cette inscription est subordonnée à la garantie de réciprocité donnée par les autorités du pays d’origine du postulant.