L’Union nationale pour le développement et le renouveau (UNDR) a exprimé dans un communiqué de presse sa satisfaction suite à la libération de l'opposant équato-Guinéen Andres Esono Onda, invité au congrès du parti.
Selon l’UNDR, le président du Parti Convergence pour la Démocratie Sociale a quitté N'Djamena ce matin du mercredi 24 avril 2019, vers 7h30 pour Malabo en passant par Douala.
Par ailleurs, l’UNDR informe l’opinion qu’aucune preuve de ce qui lui est reproché n’a été fournie. « L’Etat tchadien est obligé de le relaxer. Il a choisi lui-même de regagner son pays pour faire face à l’accusation gratuite et fallacieuse dont il fait l’objet. Dans cette affaire, l’UNDR déplore l’amateurisme des services de sécurité qui auraient pu suivre l’intéressé et se renseigner davantage avant de l’arrêter, au lieu de l'humilier et de le séquestrer pour rien. Ce qui a été fait prouve que notre pays ne respecte pas les droits des étrangers », selon le parti.
L’UNDR invite les autorités équato-guinéennes à plus de retenue et de dignité en traitant honorablement Andres Esono Ondo. "Le Tchad n’est pas un marchand d’armes qu’il ne fabrique d’ailleurs pas et il n’est pas non plus un fournisseur de mercenaires comme elles semblent l’insinuer", précise le parti tchadien d'opposition.
Selon l’UNDR, le président du Parti Convergence pour la Démocratie Sociale a quitté N'Djamena ce matin du mercredi 24 avril 2019, vers 7h30 pour Malabo en passant par Douala.
Par ailleurs, l’UNDR informe l’opinion qu’aucune preuve de ce qui lui est reproché n’a été fournie. « L’Etat tchadien est obligé de le relaxer. Il a choisi lui-même de regagner son pays pour faire face à l’accusation gratuite et fallacieuse dont il fait l’objet. Dans cette affaire, l’UNDR déplore l’amateurisme des services de sécurité qui auraient pu suivre l’intéressé et se renseigner davantage avant de l’arrêter, au lieu de l'humilier et de le séquestrer pour rien. Ce qui a été fait prouve que notre pays ne respecte pas les droits des étrangers », selon le parti.
L’UNDR invite les autorités équato-guinéennes à plus de retenue et de dignité en traitant honorablement Andres Esono Ondo. "Le Tchad n’est pas un marchand d’armes qu’il ne fabrique d’ailleurs pas et il n’est pas non plus un fournisseur de mercenaires comme elles semblent l’insinuer", précise le parti tchadien d'opposition.