N'DJAMENA (Tchad) - La suppression d'établissements publics d'enseignement secondaire général est finalement annulé, apprend-t-on d'un arrêté du nouveau ministre des Enseignements secondaires et des formations professionnelles, Ahmat Alkhazali Acyl.
Ce revirement remet en question la continuité des décisions gouvernementales. Au Tchad, la politique du gouvernement est autant instable et imprévisible que les nombreux remaniements. D'un gouvernement à l'autre, les précédentes décisions passent sous la trappe...puis on recommence. C'est la renaissance, justifie-t-on ! Ce n'est pas la première fois qu'on assiste à des revirements injustifiés. Tel un jeu de bowling, on casse tout et on recommence. Ne tourne pas t-on en rond ?
162 lycées publics dans les sous-préfectures et quelques départements avait été supprimés par le précédant ministère des enseignements et de la formation professionnelle secondaires, sur instruction du Premier ministre. Plusieurs voix s'étaient élevés pour dénoncer cette mesure qui intervenait à quelques semaines des rentrés scolaires.
Cette suppression devait également entraîner le redéploiement d'un millier d'enseignants toutes disciplines confondues dans les lycées des chefs-lieux des régions.
Ce revirement remet en question la continuité des décisions gouvernementales. Au Tchad, la politique du gouvernement est autant instable et imprévisible que les nombreux remaniements. D'un gouvernement à l'autre, les précédentes décisions passent sous la trappe...puis on recommence. C'est la renaissance, justifie-t-on ! Ce n'est pas la première fois qu'on assiste à des revirements injustifiés. Tel un jeu de bowling, on casse tout et on recommence. Ne tourne pas t-on en rond ?
162 lycées publics dans les sous-préfectures et quelques départements avait été supprimés par le précédant ministère des enseignements et de la formation professionnelle secondaires, sur instruction du Premier ministre. Plusieurs voix s'étaient élevés pour dénoncer cette mesure qui intervenait à quelques semaines des rentrés scolaires.
Cette suppression devait également entraîner le redéploiement d'un millier d'enseignants toutes disciplines confondues dans les lycées des chefs-lieux des régions.