Le porte parole de la police dément la mort de trois personnes mais confirme celle d'un étudiant en droit décédé par un chauffeur qui tentait d'éloigner un bus 🚌 du lieu de l'incendie. La police non plus n'apas utilisé des balles réelles a tenu à préciser le porte parole de la police Paul M. Sur les antennes de Rfi. Cet après. Midi Rfi z annoncé la mort de trois étudiants.
Le calme est revenu après la manifestation violente des élèves contre le port de casques, dans la ville de N'Djamena, qui a fait un mort, du côté des manifestants, ainsi que plusieurs blessés. La police a pu interpeller plusieurs élèves.
Ce face à face entre élèves et policiers a été particulièrement très violent et a duré toute la moitié de la journée. Un bus de transport des étudiants touché par un tir de gaz de lacrymogène de la police, l'a complètement consumé. Les forces de l'ordre sont parvenues à contenir les élèves. Un important dispositif est actuellement déployé dans l'enceinte du Lycée Felix Eboue.
Le calme règne dans la ville de NDjamena après que les forces de l'ordre aient dispersé les élèves dans les différents établissements de l'enseignement secondaire de la capitale. Ces agitations n'ont pas eu d'influence particulière sur le cour de la vie à N'Djamena. La population vaque normalement à ses occupations. Malgré les agitations, la plupart des motocyclistes continuent à se conformer à la décision des autorités de porter les casques.
Ce face à face entre élèves et policiers a été particulièrement très violent et a duré toute la moitié de la journée. Un bus de transport des étudiants touché par un tir de gaz de lacrymogène de la police, l'a complètement consumé. Les forces de l'ordre sont parvenues à contenir les élèves. Un important dispositif est actuellement déployé dans l'enceinte du Lycée Felix Eboue.
Le calme règne dans la ville de NDjamena après que les forces de l'ordre aient dispersé les élèves dans les différents établissements de l'enseignement secondaire de la capitale. Ces agitations n'ont pas eu d'influence particulière sur le cour de la vie à N'Djamena. La population vaque normalement à ses occupations. Malgré les agitations, la plupart des motocyclistes continuent à se conformer à la décision des autorités de porter les casques.