Le lycée de la Concorde a organisé samedi à N'Djamena une cérémonie pour le célébration de la journée des filles, sous le thème de la scolarisation de la fille tchadienne.
Hymne nationale, exposés, danses traditionnelles, échanges entre enseignants et élèves, ainsi que pièces de théâtre, tout a été mis en oeuvre par les organisateurs pour la réussite de l'évènement.
"Nous ne pouvons pas parler du Tchad sans parler de la femme. Le lycée de la Concorde a constaté que partout sur le territoire, la femme n'a pas une place", a déclaré Natoi-Allah Ringar, encadreur de l'évènement, justifiant la tenue de cette journée de sensibilisation pour "donner à la fille la valeur qu'il lui faut", "sa grandeur et sa place".
Hymne nationale, exposés, danses traditionnelles, échanges entre enseignants et élèves, ainsi que pièces de théâtre, tout a été mis en oeuvre par les organisateurs pour la réussite de l'évènement.
"Nous ne pouvons pas parler du Tchad sans parler de la femme. Le lycée de la Concorde a constaté que partout sur le territoire, la femme n'a pas une place", a déclaré Natoi-Allah Ringar, encadreur de l'évènement, justifiant la tenue de cette journée de sensibilisation pour "donner à la fille la valeur qu'il lui faut", "sa grandeur et sa place".
Les parents ont un grand rôle à jouer pour changer les mentalités, particulièrement en commençant par scolariser leurs filles. Car s'ils trouvent que payer 10 ou 15.000 Fcfa pour inscrire leur fille à l'école est excessif, c'est qu'ils font preuve d'ignorance, ont estimé des enseignants.
Ils ont rappelé qu'éduquer une fille, c'est éduquer une nation et la préparer à rendre le monde meilleur.
La mobilisation au cours de la rencontre a suscité l'espoir pour les participants de voir un jour, une femme présidente de la République au Tchad.
"Si le garçon a le droit à l'éducation, la fille a doublement le droit. (...) On ne peut pas parler d'une société sans connaitre la place de la jeune fille tchadienne", ont rappelé les organisateurs.
Ils ont rappelé qu'éduquer une fille, c'est éduquer une nation et la préparer à rendre le monde meilleur.
La mobilisation au cours de la rencontre a suscité l'espoir pour les participants de voir un jour, une femme présidente de la République au Tchad.
"Si le garçon a le droit à l'éducation, la fille a doublement le droit. (...) On ne peut pas parler d'une société sans connaitre la place de la jeune fille tchadienne", ont rappelé les organisateurs.