L'opposant Yorongar. Crédit photo : Sources
Le ministère de l’Administration du territoire et de la sécurité publique indique que certains responsables des partis politiques de l’opposition démocratique tiennent lors de leur meeting politique dans le Tchad-profond «des propos appelant à la haine et au soulèvement populaire. Ces comportements des leaders politiques ne sauraient être longtemps tolérés », avertit le ministre de l’Administration du territoire et de la sécurité publique dans un communiqué de presse rendu public hier.
Dans un meeting le 11 Juin 2015 à Koumra, l'opposant Yorongar, a invité les tchadiens à la révolte. Sans la révolte, il n'y a pas changement au Tchad, a indiqué l'opposant Yorongar lors de meeting. Yorongar a souligné que Idriss Deby Itno son calcul c'est d'éliminer les cadres sudistes, c'est ce qui est fait. Au cours du meeting, l'opposant appelle les jeunes tchadiens de prendre leur conscience pour la génération future. Il a donné l'exemple de Burkina, de la Libye, Tunisie et Egypte. "Ces exemples donnés ci-haut doivent nous servir ici au Tchad", a indiqué Yorongar. On a le sentiment que la campagne électorale est déjà lancée. La semaine dernière, le président de l'UNDR, chef de file de l'opposition, a violemment critiqué le régime en place et a mis en cause la politique étrangère du pays laquelle n'a pas réussi à convaincre les partenaires du Tchad pour voter en faveur du candidat tchadien à la BAD.
Dans un meeting le 11 Juin 2015 à Koumra, l'opposant Yorongar, a invité les tchadiens à la révolte. Sans la révolte, il n'y a pas changement au Tchad, a indiqué l'opposant Yorongar lors de meeting. Yorongar a souligné que Idriss Deby Itno son calcul c'est d'éliminer les cadres sudistes, c'est ce qui est fait. Au cours du meeting, l'opposant appelle les jeunes tchadiens de prendre leur conscience pour la génération future. Il a donné l'exemple de Burkina, de la Libye, Tunisie et Egypte. "Ces exemples donnés ci-haut doivent nous servir ici au Tchad", a indiqué Yorongar. On a le sentiment que la campagne électorale est déjà lancée. La semaine dernière, le président de l'UNDR, chef de file de l'opposition, a violemment critiqué le régime en place et a mis en cause la politique étrangère du pays laquelle n'a pas réussi à convaincre les partenaires du Tchad pour voter en faveur du candidat tchadien à la BAD.