Les commerces du marché de Mil de N'Djamena fermés. Alwihda Info/ Abderahman Hassan
Tout serait parti d’une augmentation des taxes par la mairie centrale de N’djamena. Le Collectif Tchadien Contre la Vie Chère (CTVC) avait fait une descente sur le marché de mil pour voir de visu les causes profondes de la surenchère des produits de première nécessité, mais grande a été la surprise de constater par les membres de la CTVC, que les commerçants que l’on à l’habitude de qualifier de « véreux », sont plutôt des victimes de l’administration et précisément de la mairie centrale.
Pour preuve, le Président de la CTVC, Dingamnayal Nely Versinis précise que les tickets portant les mêmes numéros, la même année sont vendus deux fois dans le mois aux mêmes commerçants, à l’exemple de Hassan Moussa du carré 98 qui, pour le mois de janvier, a payé doublement le même ticket et, de surcroit, la taxe a augmenté de prix sans une quelconque explication.
« C’est un faux et usage de faux »
Dingamnayal Nely Versinis déclare que « c’est un faux et usage de faux qui atteste que Mme Djimet Ibet, la première magistrate de la ville de N’Djamena et ses collaborateurs arnaquent les paisibles commerçants qui, à leur tour, répercutent cela sur les marchandises », et au finish, c’est le dernier consommateur tchadien qui paie les pots cassés.
Pour comprendre ce phénomène, les démarches ont été entreprises par le CTVC auprès de la Mairie centrale de N’Djamena pour comprendre les raisons de cette arnaque, mais l’on s’est heurté à un mur de béton.
La mairie se défend
La Mairesse de N’Djamena a affirmé qu’elle n’est pas au courant de cette manœuvre machiavélique qui se déroule, mais elle renvoie plutôt les accusations sur le Secrétaire Général de la communauté urbaine de N’Djamena.
Ces pratiquent mafieuses auxquelles s’adonnent les agents de la mairie constituent un délit intolérable dans un Etat de droit.
Faisant face à cette arnaque sans pareil, le CTVC a demandé par la voix de son Président M Dingamanyal Nely Versinis, à tous les commerçants exerçant au marché de Mil de N’Djamena de fermer hermétiquement leurs boutiques ce jour 10 Avril 2017 au 11 Avril 2017, en guise de protestation contre l’augmentation exagérée des droits de place.
A la dernière minute, la mairie centrale s'est dit ouverte pour le dialogue. Toutefois, les commerçants maintiennent les deux jours de grève.
Pour preuve, le Président de la CTVC, Dingamnayal Nely Versinis précise que les tickets portant les mêmes numéros, la même année sont vendus deux fois dans le mois aux mêmes commerçants, à l’exemple de Hassan Moussa du carré 98 qui, pour le mois de janvier, a payé doublement le même ticket et, de surcroit, la taxe a augmenté de prix sans une quelconque explication.
« C’est un faux et usage de faux »
Dingamnayal Nely Versinis déclare que « c’est un faux et usage de faux qui atteste que Mme Djimet Ibet, la première magistrate de la ville de N’Djamena et ses collaborateurs arnaquent les paisibles commerçants qui, à leur tour, répercutent cela sur les marchandises », et au finish, c’est le dernier consommateur tchadien qui paie les pots cassés.
Pour comprendre ce phénomène, les démarches ont été entreprises par le CTVC auprès de la Mairie centrale de N’Djamena pour comprendre les raisons de cette arnaque, mais l’on s’est heurté à un mur de béton.
La mairie se défend
La Mairesse de N’Djamena a affirmé qu’elle n’est pas au courant de cette manœuvre machiavélique qui se déroule, mais elle renvoie plutôt les accusations sur le Secrétaire Général de la communauté urbaine de N’Djamena.
Ces pratiquent mafieuses auxquelles s’adonnent les agents de la mairie constituent un délit intolérable dans un Etat de droit.
Faisant face à cette arnaque sans pareil, le CTVC a demandé par la voix de son Président M Dingamanyal Nely Versinis, à tous les commerçants exerçant au marché de Mil de N’Djamena de fermer hermétiquement leurs boutiques ce jour 10 Avril 2017 au 11 Avril 2017, en guise de protestation contre l’augmentation exagérée des droits de place.
A la dernière minute, la mairie centrale s'est dit ouverte pour le dialogue. Toutefois, les commerçants maintiennent les deux jours de grève.
Les commerces du marché de Mil de N'Djamena fermés. Alwihda Info/ Abderahman Hassan