Tchad : Les terroristes utilisaient de véritables engins militaires, selon la DGSSIE
Depuis les attentats terroristes du 15 juin 2015, les services de sécurité du Tchad à tous les niveaux sont en état d’alerte maximum. C’est dans ce contexte que la Direction Générale
des Services de Sécurité des Institutions de l’Etat (DGSSIE), à travers sa section de Recherche-Investigation-Neutralisation des Engins à Explosifs (RINEEX), a procédé lors de ses activités de routine effectuées les 28 et 29 juin 2015, à la découverte et à la saisie de plusieurs explosifs, de matériels entrant dans la fabrication de ceux-ci et de bien d’autres accessoires.
La présentation de tout ce matériel à la presse s’est déroulée le mardi 30 juin 2015 dans l’un des locaux de la RINEEX situé au quartier Djambal-Barh dans le deuxième arrondissement de N’Djaména. Sur la bâche étalée dans la cours de cette section de la DGSSIE, sont exposées plusieurs sortes de matériels constitués à majorité de véritables engins militaires et non des objets artisanaux comme l’on pouvait se l’imaginer en pareils cas.
Des explosifs militaires à fragmentation, trois gilets contenant chacun cinq bombes suicidaires alimentées par des batteries de 27 volts au total et équipés d’interrupteurs à actionner par les kamikazes, des détonateurs également militaires volés certainement dans les casernes du Nigéria, des câbles et des carburateurs équipés pour augmenter les fragmentations chez les victimes, des psychotropes et surtout des Viagra que les potentiels terroristes avalent en quantité pour augmenter la pression du sang dans le cerveau afin d’agir sans peur, un cahier contenant des inscriptions en lettres et en chiffres en Haoussa remontant au 4 avril 2015, des photos de jeunes femmes certainement complices des futurs tueurs, etc.
Pour l’artificier principal de la RINEEX qui s’est exprimé sous anonymat, le matériel composé d’explosifs a été pris sur des mendiants handicapés à l’intérieur de la capitale. A entendre cet officier supérieur, cela ne laisse aucun doute sur l’origine des tueurs qui peuvent venir de là où on les attend le moins, et que la vigilance de tous est sollicitée dans cette phase critique.
Riamian Doumtoloum Ghislain
des Services de Sécurité des Institutions de l’Etat (DGSSIE), à travers sa section de Recherche-Investigation-Neutralisation des Engins à Explosifs (RINEEX), a procédé lors de ses activités de routine effectuées les 28 et 29 juin 2015, à la découverte et à la saisie de plusieurs explosifs, de matériels entrant dans la fabrication de ceux-ci et de bien d’autres accessoires.
La présentation de tout ce matériel à la presse s’est déroulée le mardi 30 juin 2015 dans l’un des locaux de la RINEEX situé au quartier Djambal-Barh dans le deuxième arrondissement de N’Djaména. Sur la bâche étalée dans la cours de cette section de la DGSSIE, sont exposées plusieurs sortes de matériels constitués à majorité de véritables engins militaires et non des objets artisanaux comme l’on pouvait se l’imaginer en pareils cas.
Des explosifs militaires à fragmentation, trois gilets contenant chacun cinq bombes suicidaires alimentées par des batteries de 27 volts au total et équipés d’interrupteurs à actionner par les kamikazes, des détonateurs également militaires volés certainement dans les casernes du Nigéria, des câbles et des carburateurs équipés pour augmenter les fragmentations chez les victimes, des psychotropes et surtout des Viagra que les potentiels terroristes avalent en quantité pour augmenter la pression du sang dans le cerveau afin d’agir sans peur, un cahier contenant des inscriptions en lettres et en chiffres en Haoussa remontant au 4 avril 2015, des photos de jeunes femmes certainement complices des futurs tueurs, etc.
Pour l’artificier principal de la RINEEX qui s’est exprimé sous anonymat, le matériel composé d’explosifs a été pris sur des mendiants handicapés à l’intérieur de la capitale. A entendre cet officier supérieur, cela ne laisse aucun doute sur l’origine des tueurs qui peuvent venir de là où on les attend le moins, et que la vigilance de tous est sollicitée dans cette phase critique.
Riamian Doumtoloum Ghislain