Hassan Sylla Bakari, porte-parole du Mouvement patriotique du salut (MPS), formation politique du chef de l'Etat, réagit aux interrogations sur la tenue des élections avant la fin de l'année.
"Il reviendra au Cadre national de dialogue politique (CNDP) et à la Commission électorale nationale indépendante (CENI), d’arrêter un chronogramme et de faire en sorte que les élections se tiennent avant la fin de l’année. Nous somme prêts et disposés à aller aux élections, même si c’est demain", souligne Hassan Sylla.
"Vous savez que l’état d’urgence n’est pas pris de gaieté de cœur par le gouvernement. L’état d’urgence a été instauré par le gouvernement, c’est pour ramener la paix et la quiétude dans des provinces où il y a des problèmes. Nous ne sommes pas le premier pays à avoir instauré l’état d’urgence. Si jamais les dates des élections sont prévues de se tenir pendant la période de l’état d’urgence, il y aura certainement un mécanisme technique pour répondre à cette éventualité. Il ne peut pas y avoir des élections dans un endroit où il y a mort d'hommes. Il appartiendra à la CENI de trouver un mécanisme pour organiser les élections dans ces provinces", précise-t-il.
"Il reviendra au Cadre national de dialogue politique (CNDP) et à la Commission électorale nationale indépendante (CENI), d’arrêter un chronogramme et de faire en sorte que les élections se tiennent avant la fin de l’année. Nous somme prêts et disposés à aller aux élections, même si c’est demain", souligne Hassan Sylla.
"Vous savez que l’état d’urgence n’est pas pris de gaieté de cœur par le gouvernement. L’état d’urgence a été instauré par le gouvernement, c’est pour ramener la paix et la quiétude dans des provinces où il y a des problèmes. Nous ne sommes pas le premier pays à avoir instauré l’état d’urgence. Si jamais les dates des élections sont prévues de se tenir pendant la période de l’état d’urgence, il y aura certainement un mécanisme technique pour répondre à cette éventualité. Il ne peut pas y avoir des élections dans un endroit où il y a mort d'hommes. Il appartiendra à la CENI de trouver un mécanisme pour organiser les élections dans ces provinces", précise-t-il.