Bernard Padare (gauche) et Ahmat Bachir (droite).
Tchad. (Alwihda Info) - L'affaire de corruption opposant l'ancien ministre de l'intérieur Ahmat Mahamat Bâchir à son collègue de la justice Jean Bernard Padaret était une des affaires les plus suivies par la population tchadienne. Deux personnalités politiques très proches du sérail, repus de pouvoir, connues par leurs diatribes et leurs sorties intempestives, ont animé la scène juridico-médiatique durant les deux derniers mois.
Sans se tromper, l'affaire ressemble aux affaires passées qui n'aboutissent en rien, à part la réhabilitation au finish. Ismail Abdelrahim, un commerçant moyen, interrogé sur cette affaire, s'explique: "tous les exemples sont là pour confirmer l'idée que nous avons sur ce qui se passe au sommet de l'état: poste= détournement, humiliation puis réhabilitation".
Sans se tromper, l'affaire ressemble aux affaires passées qui n'aboutissent en rien, à part la réhabilitation au finish. Ismail Abdelrahim, un commerçant moyen, interrogé sur cette affaire, s'explique: "tous les exemples sont là pour confirmer l'idée que nous avons sur ce qui se passe au sommet de l'état: poste= détournement, humiliation puis réhabilitation".
"Tout laisse à croire que l'affaire de corruption opposant les deux poids lourds arrive à son terminus", souligne Michel Raoul un enseignant secondaire.
"JBP a fait deux apparitions à la télé, AMB a accompagné le président lors de son périple à l'Est, le président est déjà en campagne électorale...il a besoin de tout le monde", indique l'analyste Souley.