Par Elysée Naïssem
Dans le cadre de renforcer le processus démocratique au Tchad, le gouvernement tchadien à travers l’Union européenne a permis l’organisation des états généraux à la presse tchadienne en mai 2008 ; A l’issue de ces assises plusieurs recommandations pertinentes ont été formulées à l’endroit du gouvernement et ses partenaires.
La ténacité dans la mise en œuvre de l’une des principales recommandations de ces états généraux a préoccupé le gouvernement et a manifesté prendre en charge le bail de cette maison des média du Tchad pendant deux ans. La porte ouverte de cette Maison qui tient lieu de siège à toutes les associations fondatrice a été organisée par le Comité de gestion de la dite maison le 22 février dernier. Cette date du 22 février est désormais retenue comme une journée mémorable dans l’histoire de la presse tchadienne dans son ensemble. Le principal mot d’ordre de ces différentes organisations reste avant tout la promotion de la liberté d’expression et de la de la défense des intérêts moraux et matériels de leurs membres. Mais le majeur reste celui de la formation des journalistes afin d’en faire de vrais ^professionnels capables de vivre de leur métier dans la responsabilité. Ceci pour pallier tout petit peu des carences qui mettent à mal souvent les rapports entre les civiles les hommes politiques et les journalistes eux-mêmes. C’est à ce titre que plusieurs textes de loi ont été promulgués. Ces textes déterminent les cadres et les conditions d’exercice du métier de journalistes dans les différents corps de ce noble métier.