À peine les débits de boissons ont réouvert, les consommateurs les ont pris d'assaut à Moundou. Malgré les prix relevés des boissons, ces derniers se disent obligés d'en consommer.
Un consommateur rencontré dans un bar nous confie que malgré la hausse des prix, il est obligé de consommer même si ce n'est pas la quantité habituelle.
Il y a deux jours, les détenteurs des bars et dépôts ont décidé de fermer leurs formes en guise de protestation contre l'augmentation des pris des bières par les Brasseries du Tchad.
Depuis le 1er janvier 2020, les prix de boissons alcoolisées et liqueurs ont été revus à la hausse.
Cette hausse s'explique par l'expiration d'une convention d'exonération de cinq ans entre les Brasseries du Tchad et l'Etat tchadien. La convention est arrivée à son terme le 31 décembre 2019. La nouvelle Loi de finances obligeant les brasseries du Tchad à payer plus des taxes que prévues, celle-ci s’est vue dans l’obligation d’augmenter ses prix.
Un consommateur rencontré dans un bar nous confie que malgré la hausse des prix, il est obligé de consommer même si ce n'est pas la quantité habituelle.
Il y a deux jours, les détenteurs des bars et dépôts ont décidé de fermer leurs formes en guise de protestation contre l'augmentation des pris des bières par les Brasseries du Tchad.
Depuis le 1er janvier 2020, les prix de boissons alcoolisées et liqueurs ont été revus à la hausse.
Cette hausse s'explique par l'expiration d'une convention d'exonération de cinq ans entre les Brasseries du Tchad et l'Etat tchadien. La convention est arrivée à son terme le 31 décembre 2019. La nouvelle Loi de finances obligeant les brasseries du Tchad à payer plus des taxes que prévues, celle-ci s’est vue dans l’obligation d’augmenter ses prix.