Le Batha est une zone d'élevage par excellence mais ce secteur ne profite pas à ladite province, a reconnu mardi le gouverneur de la province, Benaindo Tatola, lors d'une rencontre avec les opérateurs économiques.
Il a expliqué que les commerçants et transitaires préfèrent payer les taxes liées à l'exportation des bétails du Batha au Sila, Ouaddaï, N'Djamena et ailleurs. Selon lui, "c'est une situation inadmissible qui doit s'arrêter à partir d'aujourd'hui."
"S'il y a problème, il faut se rapprocher des autorités concernées pour les solutions au lieu de provoquer des fuites de recettes vers d'autres provinces", a mis en garde le gouverneur.
Il a rappelé que "les commerçants doivent payer les impôts et autres taxes pour permettre de faire des recettes nécessaires pour le fonctionnement des services déconcentrés de l'Etat."
Il a expliqué que les commerçants et transitaires préfèrent payer les taxes liées à l'exportation des bétails du Batha au Sila, Ouaddaï, N'Djamena et ailleurs. Selon lui, "c'est une situation inadmissible qui doit s'arrêter à partir d'aujourd'hui."
"S'il y a problème, il faut se rapprocher des autorités concernées pour les solutions au lieu de provoquer des fuites de recettes vers d'autres provinces", a mis en garde le gouverneur.
Il a rappelé que "les commerçants doivent payer les impôts et autres taxes pour permettre de faire des recettes nécessaires pour le fonctionnement des services déconcentrés de l'Etat."