Le coordonateur du projet champs pilotes présidentiels, le député Néatobeye Le Nasseguengrar a sensibilisé la population sur le message du chef de l’Etat qui exhorte tous ses compatriotes à revenir au travail de la terre nourricière. "La terre n'est pas ingrate comme nous les Hommes. Si vous lui donner une graine, elle vous donnera en retour au moins un épis plein de graines", a-t-il indiqué.
Le projet de champs pédagogiques présidentiels a pour objectif -pour le chef de l'Etat- de manifester sa caution politique et morale à la relance de la filière coton au Tchad, selon le député. Il vise à inciter ses compatriotes à retourner au travail de la terre nourricière ; redonner confiance aux producteurs et les amener à adhérer à sa politique de relance de la filière coton au Tchad ; et atténuer les tensions intercommunautaires, notamment les conflits agriculteurs-éleveurs.
Il doit également permettre de créer des emplois et de l’auto-emploi pour les jeunes en vue de leur réinsertion en milieu rural dans des conditions socio-économiques améliorées et atténuer l'exode rural ; lutter contre la faim, la malnutrition et l’analphabétisme ; et protéger l’environnement.
Cinq jeunes de chaque province sont sélectionnés et seront formés en entrepreneuriat agro-sylvo-pastoral. Ils recevront à la fin de leur formation un kit d'exploitation ainsi qu'un fonds de démarrage pour s'installer, selon le coordonnateur du projet champs pédagogiques présidentiels.
Les revenus de ces champs seront réinvestis dans le financement de projets communautaires dans les provinces concernées.
Le projet de champs pédagogiques présidentiels a pour objectif -pour le chef de l'Etat- de manifester sa caution politique et morale à la relance de la filière coton au Tchad, selon le député. Il vise à inciter ses compatriotes à retourner au travail de la terre nourricière ; redonner confiance aux producteurs et les amener à adhérer à sa politique de relance de la filière coton au Tchad ; et atténuer les tensions intercommunautaires, notamment les conflits agriculteurs-éleveurs.
Il doit également permettre de créer des emplois et de l’auto-emploi pour les jeunes en vue de leur réinsertion en milieu rural dans des conditions socio-économiques améliorées et atténuer l'exode rural ; lutter contre la faim, la malnutrition et l’analphabétisme ; et protéger l’environnement.
Cinq jeunes de chaque province sont sélectionnés et seront formés en entrepreneuriat agro-sylvo-pastoral. Ils recevront à la fin de leur formation un kit d'exploitation ainsi qu'un fonds de démarrage pour s'installer, selon le coordonnateur du projet champs pédagogiques présidentiels.
Les revenus de ces champs seront réinvestis dans le financement de projets communautaires dans les provinces concernées.