L'association La voix de la femme, en collaboration avec l'association La voix de paix, a organisée ce vendredi un plaidoyer au CEFOD sur l'implication des jeunes dans les instances de prise des décisions. Trois panélistes ont pris part aux débats : Dr. Kebir Mahamat Abdoulaye, juriste et chercheur, Dr. Mahamat Foudda Djourab, sociologue et Saleh Mahyadine Mahamat, représentant du Haut conseil des collectivités autonomes et des chefferies traditionnelles.
Le premier intervenant, Kebir Mahamat Abdoulaye a estimé que "la jeunesse tchadienne peut prendre des décisions à travers plusieurs instances de la République, à savoir le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire".
"Les jeunes peuvent prendre des décisions à travers le Parlement lors d'un projet de loi ou une proposition de loi. Au titre du pouvoir exécutif, les jeunes doivent participer à la prise des décisions en s'impliquant directement aux décisions administratives à travers différentes formes de recours. Au titre du pouvoir judiciaire, les jeunes tchadiens peuvent aussi participer à la prise de décisions devant les tribunaux", a relevé le panéliste.
D'après Kebir Mahamat Abdoulaye, "les jeunes tchadiens peuvent aussi recourir à d'autres méthodes de prise de décisions à savoir, le recours aux réseaux sociaux surtout l'Internet, et la création d'associations des jeunes ou groupements des Jeunes".
Le premier intervenant, Kebir Mahamat Abdoulaye a estimé que "la jeunesse tchadienne peut prendre des décisions à travers plusieurs instances de la République, à savoir le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire".
"Les jeunes peuvent prendre des décisions à travers le Parlement lors d'un projet de loi ou une proposition de loi. Au titre du pouvoir exécutif, les jeunes doivent participer à la prise des décisions en s'impliquant directement aux décisions administratives à travers différentes formes de recours. Au titre du pouvoir judiciaire, les jeunes tchadiens peuvent aussi participer à la prise de décisions devant les tribunaux", a relevé le panéliste.
D'après Kebir Mahamat Abdoulaye, "les jeunes tchadiens peuvent aussi recourir à d'autres méthodes de prise de décisions à savoir, le recours aux réseaux sociaux surtout l'Internet, et la création d'associations des jeunes ou groupements des Jeunes".
Mieux impliquer la jeunesse
Dr. Mahamat Foudda Djourab a estimé que "la jeunesse tchadienne doit pleinement être impliquée dans la prise des décisions. Cette jeunesse ne doit pas être prise en otage ou amputée. La jeunesse est le flambeau et la lumière du développement. Elle joue un rôle crucial en matière de prise des décisions".
"La jeunesse n'est pas constituée seulement des garçons. La participation féminine joue un rôle très important au sein de la jeunesse, surtout en matière de prise des décisions. Cette jeunesse a les yeux bandés suite à l'insuffisance d'infrastructures scolaires, sanitaires, économiques et éducatives. Une jeunesse absente de toute instance internationale", a déploré l'intervenant.
Dr. Mahamat Foudda Djourab a estimé que "la jeunesse tchadienne doit pleinement être impliquée dans la prise des décisions. Cette jeunesse ne doit pas être prise en otage ou amputée. La jeunesse est le flambeau et la lumière du développement. Elle joue un rôle crucial en matière de prise des décisions".
"La jeunesse n'est pas constituée seulement des garçons. La participation féminine joue un rôle très important au sein de la jeunesse, surtout en matière de prise des décisions. Cette jeunesse a les yeux bandés suite à l'insuffisance d'infrastructures scolaires, sanitaires, économiques et éducatives. Une jeunesse absente de toute instance internationale", a déploré l'intervenant.
Le représentant du HCCACT, Mahyadine Mahamat a affirmé que "l'implication des jeunes dans la prise des décisions ne doit pas seulement s'arrêter au niveau des pouvoirs publics. Elle peut aussi jouer un rôle très important dans le monde rural en s'impliquant directement aux ressources locales, traditionnelles et aussi culturelle. Les jeunes tchadiens doivent s'inspirer et mobiliser toutes les ressources nécessaires pour atteindre l'objectif dans la prise des décisions".
La présidente de l'association La voix de la femme, Mme. Amina Tidjani Yaya a précisé que "la jeunesse doit construire un long bateau qui lui permettra de traverser cette rivière pour atteindre cet objectif. Il faut une formation de qualité, et une harmonisation basé sur la paix et la cohabitation pacifique au Tchad".
La présidente de l'association La voix de la femme, Mme. Amina Tidjani Yaya a précisé que "la jeunesse doit construire un long bateau qui lui permettra de traverser cette rivière pour atteindre cet objectif. Il faut une formation de qualité, et une harmonisation basé sur la paix et la cohabitation pacifique au Tchad".