Selon des informations recueillies par notre rédaction, le gouvernement a débloqué une somme de 10 millions de Francs CFA pour permettre à chaque membre de délégation de quitter l'hôtel et de louer un logement à N'Djaména. Cette somme a été offerte après plusieurs mois d'hébergement aux frais de l'État, pour des politico-militaires qui ont signé l'accord de paix de Doha.
Cependant, il semblerait que certains anciens opposants politico-militaires, pour la plupart logés au Ledger Plazza, ont refusé de récupérer cette somme de 10 millions de Francs CFA. Selon eux, cette somme n'est pas suffisante pour permettre une réinstallation adéquate.
Les signataires de l'accord de paix soumettent plusieurs doléances aux autorités et préconisent une solution à long terme. Par exemple, l'octroi d'un terrain pour permettre de construire, ou bien une location aux frais de l'État en attendant de trouver une solution définitive. Ils espèrent une audience avec le président de transition pour exprimer ces doléances de vive voix.
Ces doléances sont "très importantes" pour les signataires de l'accord de paix, car elles ont un impact direct sur leur réinsertion dans la société. Les anciens politico-militaires jugent essentiel que les autorités prennent en compte leurs doléances et trouvent une solution pour reloger de manière adéquate ceux qui ont choisi de mettre fin aux hostilités.
Cependant, il semblerait que certains anciens opposants politico-militaires, pour la plupart logés au Ledger Plazza, ont refusé de récupérer cette somme de 10 millions de Francs CFA. Selon eux, cette somme n'est pas suffisante pour permettre une réinstallation adéquate.
Les signataires de l'accord de paix soumettent plusieurs doléances aux autorités et préconisent une solution à long terme. Par exemple, l'octroi d'un terrain pour permettre de construire, ou bien une location aux frais de l'État en attendant de trouver une solution définitive. Ils espèrent une audience avec le président de transition pour exprimer ces doléances de vive voix.
Ces doléances sont "très importantes" pour les signataires de l'accord de paix, car elles ont un impact direct sur leur réinsertion dans la société. Les anciens politico-militaires jugent essentiel que les autorités prennent en compte leurs doléances et trouvent une solution pour reloger de manière adéquate ceux qui ont choisi de mettre fin aux hostilités.