Un véhicule de police dans la Tandjilé Ouest. Illustration © Éric Guedi/Alwihda Info
Une médiation impliquant les autorités a eu lieu jeudi dans un village de la Tandjilé Ouest, suite à un conflit qui oppose deux cantons (Bayaka et Mangsé) autour d'un terrain litigieux.
Le préfet du département de la Tandjilé Ouest a fait une descente au village Oubou, accompagné du procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Kélo, le sous-préfet de Kélo rural et celui de Bologo, le chef d'antenne de BST, de l'ANS, le commandant de la gendarmerie et le commandant de la GNNT.
Afin d'éviter que le conflit ne dégénère entre les deux communautés, le préfet du département de la Tandjilé Ouest a réuni les deux chefs de canton pour leur prodiguer des conseils.
Pour Doud Ousman Souleyman, aucune activité agricole ne doit s'opérer sur le terrain litigieux jusqu'au verdict définitif de la Cour d'appel de Moundou.
Quand au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Kélo, il a précisé que l'affaire est encore pendante à la Cour d'appel.
Les parties doivent attendre que la Cour donne son arrêt définitif, car jusqu'ici, il n y a qu'un arrêt interprétatif. Pour le procureur, Hissein Saleh Arabi, les esprits doivent se calmer et suspendre toute activité afin de tirer les choses au clair.
Les chefs de canton Bayaka, Weibigué Pircolossou, et celui de Mangsé, Daina Patrice, se sont dit prêts à obtempérer aux instructions des autorités. Ils vont transmettre le message à leur population respective.
Quelques individus ont commencé à exploiter le champ litigieux au moment de l'arrivée de la délégation. À ceux-ci, le préfet a demandé d'arrêter avec les activités pour ne pas susciter des conflits.
La délégation a pris le chemin du retour sur une note de confiance, jusqu'au verdict de la Cour d'appel de Moundou.
Le préfet du département de la Tandjilé Ouest a fait une descente au village Oubou, accompagné du procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Kélo, le sous-préfet de Kélo rural et celui de Bologo, le chef d'antenne de BST, de l'ANS, le commandant de la gendarmerie et le commandant de la GNNT.
Afin d'éviter que le conflit ne dégénère entre les deux communautés, le préfet du département de la Tandjilé Ouest a réuni les deux chefs de canton pour leur prodiguer des conseils.
Pour Doud Ousman Souleyman, aucune activité agricole ne doit s'opérer sur le terrain litigieux jusqu'au verdict définitif de la Cour d'appel de Moundou.
Quand au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Kélo, il a précisé que l'affaire est encore pendante à la Cour d'appel.
Les parties doivent attendre que la Cour donne son arrêt définitif, car jusqu'ici, il n y a qu'un arrêt interprétatif. Pour le procureur, Hissein Saleh Arabi, les esprits doivent se calmer et suspendre toute activité afin de tirer les choses au clair.
Les chefs de canton Bayaka, Weibigué Pircolossou, et celui de Mangsé, Daina Patrice, se sont dit prêts à obtempérer aux instructions des autorités. Ils vont transmettre le message à leur population respective.
Quelques individus ont commencé à exploiter le champ litigieux au moment de l'arrivée de la délégation. À ceux-ci, le préfet a demandé d'arrêter avec les activités pour ne pas susciter des conflits.
La délégation a pris le chemin du retour sur une note de confiance, jusqu'au verdict de la Cour d'appel de Moundou.