L’association "Urgence contre la faim" a remis dimanche un don de 10 sacs de mil à une école de Gaoui dans le 10ème arrondissement de N'Djamena. La remise du don a eu lieu en présence du maire de 10ème arrondissement, du représentant de Sa Majesté Sultan de Gaoui, ainsi que plusieurs membres de l’association.
D’après le président de l'association, Mahamat Alifa Abouna, la cantine scolaire a pour objectif d’appuyer l’école primaire de Gaoui pour l’amélioration des conditions éducatives, sanitaires et nutritionnelles des élèves, en particulier ceux issus des couches vulnérables.
"Ces enfant défavorisés qui vivent parfois dans l’insécurité alimentaire ont du mal à suivre les cours. La plupart de ces enfants ne mangent pas souvent à leur faim du moment où certaines de ces familles elles mêmes ont des difficultés à se nourrir", a-t-il indiqué.
Cette cantine scolaire vise à contribuer à l’amélioration du régime alimentaire et du statut nutritionnel des élèves. Cela contribuera directement à une fréquentation honorable.
Le Tchad se situe dans les catégories des pays dont le niveau de sous-alimentation est supérieur à 35%, soit 4 personnes sur 10 qui vivent dans l’insécurité alimentaire. "Le Tchad ne mérite pas de vivre sa situation actuelle", déplore Mahamat Alifa Abouna.
D’après le président de l'association, Mahamat Alifa Abouna, la cantine scolaire a pour objectif d’appuyer l’école primaire de Gaoui pour l’amélioration des conditions éducatives, sanitaires et nutritionnelles des élèves, en particulier ceux issus des couches vulnérables.
"Ces enfant défavorisés qui vivent parfois dans l’insécurité alimentaire ont du mal à suivre les cours. La plupart de ces enfants ne mangent pas souvent à leur faim du moment où certaines de ces familles elles mêmes ont des difficultés à se nourrir", a-t-il indiqué.
Cette cantine scolaire vise à contribuer à l’amélioration du régime alimentaire et du statut nutritionnel des élèves. Cela contribuera directement à une fréquentation honorable.
Le Tchad se situe dans les catégories des pays dont le niveau de sous-alimentation est supérieur à 35%, soit 4 personnes sur 10 qui vivent dans l’insécurité alimentaire. "Le Tchad ne mérite pas de vivre sa situation actuelle", déplore Mahamat Alifa Abouna.