Le Conseil économique, social et culturel (CESC) a ouvert lundi sa deuxième session ordinaire à N'Djamena, en présence du président de l'institution Abdelkerim Ahmadaye Bakhit et de plusieurs membres du gouvernement.
Les membres du CESC vont se pencher, pendant deux semaines, sur la problématique de la cohabitation pacifique.
Malgré des multiples initiatives, programmes et projets en faveur du renforcement de la cohabitation pacifique, le mal persiste, a indiqué Abdelkerim Ahmadaye Bakhit.
"Nous assistons à une résurgence des conflits intercommunautaires qui se traduisent par des morts d'hommes et des destructions de biens. Les exemples sont légions mais nous refusons à cet instant de rappeler les affres de la folie humaine. Ces conflits aux relents communautaristes mettent à mal la cohabitation pacifique, le vivre ensemble des tchadiens, voire la solidarité nationale", a indiqué le président du CESC.
D'après lui, ces évènements vont à l'encontre des actions du président de la République qui "ne cesse de prêcher la paix nationale et l'amour entre les tchadiens".
"Avec la paix retrouvée, les tchadiens doivent cultiver le vivre ensemble, bannir la haine, le tribalisme, le repli identitaire, le communautarisme et l'estime de soi qui compromettent dangereusement la construction d'un Tchad uni et propre. Nous devons mener la lutte contre la pauvreté pour le développement du Tchad", a-t-il souligné.
Les membres du CESC vont se pencher, pendant deux semaines, sur la problématique de la cohabitation pacifique.
Malgré des multiples initiatives, programmes et projets en faveur du renforcement de la cohabitation pacifique, le mal persiste, a indiqué Abdelkerim Ahmadaye Bakhit.
"Nous assistons à une résurgence des conflits intercommunautaires qui se traduisent par des morts d'hommes et des destructions de biens. Les exemples sont légions mais nous refusons à cet instant de rappeler les affres de la folie humaine. Ces conflits aux relents communautaristes mettent à mal la cohabitation pacifique, le vivre ensemble des tchadiens, voire la solidarité nationale", a indiqué le président du CESC.
D'après lui, ces évènements vont à l'encontre des actions du président de la République qui "ne cesse de prêcher la paix nationale et l'amour entre les tchadiens".
"Avec la paix retrouvée, les tchadiens doivent cultiver le vivre ensemble, bannir la haine, le tribalisme, le repli identitaire, le communautarisme et l'estime de soi qui compromettent dangereusement la construction d'un Tchad uni et propre. Nous devons mener la lutte contre la pauvreté pour le développement du Tchad", a-t-il souligné.
Le président du CESC, Abdelkerim Ahmadaye Bakhit. Tchad. © CESC
Face à la résurgence des conflits en tout genre, les conseillers de la République se posent les questions suivantes : Pourquoi des populations qui vivaient en parfaite harmonie, unies par des liens séculaires, développent-elles entre elles une animosité et une adversité aussi cruelle ? Comment arriver à trouver une solution pérenne aux questions relatives au repli identitaire ? Comment renforcer l'unité nationale, gage d'une stabilité et d'une paix durable ?
Les conseillers de la République vont "diagnostiquer ces maux qui prennent des dimensions inquiétantes".
A l'issue de cette deuxième session, les conseillers du CESC vont formuler des propositions et recommandations visant à renforcer la stabilité, la cohésion pacifique et lutter contre le repli identitaire et communautaire.
Les conseillers de la République vont "diagnostiquer ces maux qui prennent des dimensions inquiétantes".
A l'issue de cette deuxième session, les conseillers du CESC vont formuler des propositions et recommandations visant à renforcer la stabilité, la cohésion pacifique et lutter contre le repli identitaire et communautaire.