L'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT-Tchad) a exigé ce lundi l'ouverture d'enquêtes judiciaires pour établir les responsabilités pénales des auteurs, coauteurs ou complices des actes de tortures, à la suite d'un nouveau décès d'un civil en garde à vue à N'Djamena, la semaine dernière.
"Depuis un certain temps, l'on assiste à la recrudescence des cas de torture et de dépassement des délais légaux de garde à vue dans les brigades de gendarmerie et Commissariats de sécurité publique de N'Djamena et des provinces. Les cas les plus illustres sont la torture à mort pendant la garde à vue illégale de deux citoyens, respectivement au 6ème et 7ème arrondissement de N'Djamena au courant de ce mois de mai 2019", a dénoncé Maître Nodjitoloum Salomon, président de l'ACAT-Tchad.
D'après l'organisation, "rien ne peut justifier les actes de torture pendant la garde à vue qui est strictement réglementée par le Code de procédure pénale."
Elle interpelle les procureurs de la République et les Officiers de police judiciaire au respect des dispositions du Code de procédure pénale et au respect des engagements internationaux relatifs aux droits humains.
"Depuis un certain temps, l'on assiste à la recrudescence des cas de torture et de dépassement des délais légaux de garde à vue dans les brigades de gendarmerie et Commissariats de sécurité publique de N'Djamena et des provinces. Les cas les plus illustres sont la torture à mort pendant la garde à vue illégale de deux citoyens, respectivement au 6ème et 7ème arrondissement de N'Djamena au courant de ce mois de mai 2019", a dénoncé Maître Nodjitoloum Salomon, président de l'ACAT-Tchad.
D'après l'organisation, "rien ne peut justifier les actes de torture pendant la garde à vue qui est strictement réglementée par le Code de procédure pénale."
Elle interpelle les procureurs de la République et les Officiers de police judiciaire au respect des dispositions du Code de procédure pénale et au respect des engagements internationaux relatifs aux droits humains.