En vidéo. La lamy-fortaine Hadjé Fatimé Gouda a elle aussi célébré dimanche la Journée internationale des droits de la femme à N'Djamena, avec des membres de l'associations des Lamy-Fortains et des N'djamenois.
D'après elle, "le 8 mars, ce n'est pas une fête mais c'est une journée pour les droits de la femme. Donc on lutte contre beaucoup de choses. Même en Europe, ils n'y sont pas arrivés en une seule fois. Au Tchad, on ne peut pas dire qu'on va y arriver tout de suite, on y va progressivement. Mais maintenant je crois qu'on a quand même franchit des étapes."
Le lamy-fortain Oumar Adamou explique que ce n'est pas seulement une fête de femmes mais une fête de solidarité entre toutes les femmes du monde. Il demande à l'association de s'élargir et de se dépasser pour ne pas se limiter qu'aux Lamy-fortaines.
"Il y a des gens qui ne connaissent pas Fort-Lamy. C'est autre chose, c'est la solidarité, l'entraide. A entendre parler certains, j'ai peur qu'après mes soeurs (...) Demain nous serons pas là, et si on n'a pas semé quelques chose d'important, ça va être très difficile", estime Oumar Adamou qui se remémore l'ancien temps où tout le monde s'aimait et s'estimait.
Il appelle la société à se surpasser et à faire preuve de solidarité, déplorant les récents assassinats de femmes à N'Djamena.
D'après elle, "le 8 mars, ce n'est pas une fête mais c'est une journée pour les droits de la femme. Donc on lutte contre beaucoup de choses. Même en Europe, ils n'y sont pas arrivés en une seule fois. Au Tchad, on ne peut pas dire qu'on va y arriver tout de suite, on y va progressivement. Mais maintenant je crois qu'on a quand même franchit des étapes."
Le lamy-fortain Oumar Adamou explique que ce n'est pas seulement une fête de femmes mais une fête de solidarité entre toutes les femmes du monde. Il demande à l'association de s'élargir et de se dépasser pour ne pas se limiter qu'aux Lamy-fortaines.
"Il y a des gens qui ne connaissent pas Fort-Lamy. C'est autre chose, c'est la solidarité, l'entraide. A entendre parler certains, j'ai peur qu'après mes soeurs (...) Demain nous serons pas là, et si on n'a pas semé quelques chose d'important, ça va être très difficile", estime Oumar Adamou qui se remémore l'ancien temps où tout le monde s'aimait et s'estimait.
Il appelle la société à se surpasser et à faire preuve de solidarité, déplorant les récents assassinats de femmes à N'Djamena.