L'association Libre Afrique Tchad et le Centre d'études pour le développement et la prévention de l'extrémisme ont lancé samedi matin à l'Université de la francophonie, une caravane citoyenne de sensibilisation sur "l'éducation, un antidote à l'extrémisme violent."
L'objectif de cette caravane est de permettre aux étudiants de s'enquérir de la notion de l'extrémisme violent et de renforcer leurs capacités en matière de prévention.
Le directeur adjoint de l'association, Josué Nekoura, a mis l'accent sur le rôle de l'éducation comme moyen de lutte contre l'extrémisme violent. Selon lui, "une personne non éduquée est une proie facile des recruteurs ayant des objectifs obscurantistes. Eduquer les jeunes c'est combattre l'extrémisme violent à la base".
"L'expérience a montré que dans les zones non fortement alphabétisées du pays, il y a une tentation d'adhésion des jeunes aux idéaux de l'extrémisme violent. Ces jeunes non éduqués sont faciles à persuader", a-t-il souligné.
"Pour fermer définitivement la porte à l'extrémisme violent, l'éducation des jeunes et plus qu'une nécessité, mais une urgence nationale", a-t-il ajouté.
Selon le représentant du CEDPE, Agassiz Baroum, une enquête menée auprès de 285 désengagés a révélé que cinq personnes seulement ont un niveau scolaire, soit un taux de 1,9% de scolarisation.
Au cours des échanges avec les panélistes, les étudiants ont proposé de renforcer le système éducatif tchadien et de réduire les inégalités sociales.
L'objectif de cette caravane est de permettre aux étudiants de s'enquérir de la notion de l'extrémisme violent et de renforcer leurs capacités en matière de prévention.
Le directeur adjoint de l'association, Josué Nekoura, a mis l'accent sur le rôle de l'éducation comme moyen de lutte contre l'extrémisme violent. Selon lui, "une personne non éduquée est une proie facile des recruteurs ayant des objectifs obscurantistes. Eduquer les jeunes c'est combattre l'extrémisme violent à la base".
"L'expérience a montré que dans les zones non fortement alphabétisées du pays, il y a une tentation d'adhésion des jeunes aux idéaux de l'extrémisme violent. Ces jeunes non éduqués sont faciles à persuader", a-t-il souligné.
"Pour fermer définitivement la porte à l'extrémisme violent, l'éducation des jeunes et plus qu'une nécessité, mais une urgence nationale", a-t-il ajouté.
Selon le représentant du CEDPE, Agassiz Baroum, une enquête menée auprès de 285 désengagés a révélé que cinq personnes seulement ont un niveau scolaire, soit un taux de 1,9% de scolarisation.
Au cours des échanges avec les panélistes, les étudiants ont proposé de renforcer le système éducatif tchadien et de réduire les inégalités sociales.