A la veille des fêtes de fin d’année, le gaz butane se raréfie, non seulement dans les ménages et les points de vente, mais il connait tout d'un coup, une augmentation de prix. Une situation qui rend encore un peu plus difficile, la joie des populations, à l'approche des fêtes de Noël et Nouvel an.
En effet, il est difficile pour certains ménages d'avoir le gaz butane, pour la cuisson d'aliments. Des femmes et enfants parcourent de longues distances, de boutique en boutique, bouteilles vides sur la tête, sur la moto, à vélo, pour espérer se procurer le précieux sésame.
« Pour éviter les longs parcours, certains ménages choisissent d’autres options. Je vais en ville voir si je peux trouver le gaz », confie Charles à sa femme. Les vendeurs de bouteilles de gaz profitent de la rareté et augmentent le prix qui passe de 2000 à 2500 FCFA la bouteille de 6 kg, dans certains lieux de vente. « On m’a remis 2000 FCFA, mais les boutiquiers me disent que désormais la bouteille de 6kg coûte 2500 FCFA, à prendre ou à laisser », confie une petite, bouteille vide en main. « Il faut que le gouvernement pense à cette situation.
A chaque fois que les deux fêtes approchent, nous vivons toujours le même calvaire. Ce n'est pas évident », se lamente une dame qui porte une bouteille de gaz sur la tête. Entre temps, certaines voix dénoncent le comportement peu orthodoxe de détaillants, qui selon elles, seraient à l'origine du malheur. « Nous constatons que cela est devenu une habitude chez les commerçants. Ils bloquent simplement les stocks pour se faire d'argent », dénonce Rebecca.
Face à cette situation, l'Autorité de régulation du secteur pétrolier aval du Tchad (Arsat), est interpellée. Elle doit prendre au sérieux le problème de rareté du gaz butane, pour éviter qu'elle ne provoque une tension sociale.
En effet, il est difficile pour certains ménages d'avoir le gaz butane, pour la cuisson d'aliments. Des femmes et enfants parcourent de longues distances, de boutique en boutique, bouteilles vides sur la tête, sur la moto, à vélo, pour espérer se procurer le précieux sésame.
« Pour éviter les longs parcours, certains ménages choisissent d’autres options. Je vais en ville voir si je peux trouver le gaz », confie Charles à sa femme. Les vendeurs de bouteilles de gaz profitent de la rareté et augmentent le prix qui passe de 2000 à 2500 FCFA la bouteille de 6 kg, dans certains lieux de vente. « On m’a remis 2000 FCFA, mais les boutiquiers me disent que désormais la bouteille de 6kg coûte 2500 FCFA, à prendre ou à laisser », confie une petite, bouteille vide en main. « Il faut que le gouvernement pense à cette situation.
A chaque fois que les deux fêtes approchent, nous vivons toujours le même calvaire. Ce n'est pas évident », se lamente une dame qui porte une bouteille de gaz sur la tête. Entre temps, certaines voix dénoncent le comportement peu orthodoxe de détaillants, qui selon elles, seraient à l'origine du malheur. « Nous constatons que cela est devenu une habitude chez les commerçants. Ils bloquent simplement les stocks pour se faire d'argent », dénonce Rebecca.
Face à cette situation, l'Autorité de régulation du secteur pétrolier aval du Tchad (Arsat), est interpellée. Elle doit prendre au sérieux le problème de rareté du gaz butane, pour éviter qu'elle ne provoque une tension sociale.