Un rapport publié par le Bureau des affaires humanitaires au Soudan de l'OCHA a annoncé qu'environ 5 000 personnes se sont réfugiées à l'Est du Tchad à la suite des combats tribaux dans l'État du Darfour occidental.
Le bureau des Nations Unies a déclaré qu'environ 5 000 personnes avaient traversé la frontière vers le Tchad à la recherche d'un refuge dans les villages proches de la frontière avec le Soudan.
Il a indiqué que les partenaires de santé des Nations Unies ouvriront sept cliniques de santé, soulignant que l'hôpital d'Al-Geneina est ouvert avec le soutien de l'Organisation mondiale de la santé pour répondre aux besoins sanitaires des déplacés.
Par ailleurs, des stocks de produits non alimentaires sont disponibles pour la distribution immédiate aux personnes déplacées.
Un recensement en cours
A la date de vendredi dernier, au moins 3713 personnes, en majorité des femmes et des enfants, ont déjà été recensées dans la ville d'Adré et ses environs.
"Le Tchad a le devoir de protéger ces personnes qui ont quitté leur patrie à cause des conflits intercommunautaires", a déclaré la semaine dernière le gouverneur de la province du Ouaddaï, Ramadan Erdebou lors d'un déplacement à Goz Beida.
Il a invité les responsables du département à accompagner les équipes mises en place pour faciliter les opérations de recensement et de prise en charge.
Des sites de transition ont été identifiés par les autorités, tandis que l'intégration dans des centres existants est envisagée.
Le bureau des Nations Unies a déclaré qu'environ 5 000 personnes avaient traversé la frontière vers le Tchad à la recherche d'un refuge dans les villages proches de la frontière avec le Soudan.
Il a indiqué que les partenaires de santé des Nations Unies ouvriront sept cliniques de santé, soulignant que l'hôpital d'Al-Geneina est ouvert avec le soutien de l'Organisation mondiale de la santé pour répondre aux besoins sanitaires des déplacés.
Par ailleurs, des stocks de produits non alimentaires sont disponibles pour la distribution immédiate aux personnes déplacées.
Un recensement en cours
A la date de vendredi dernier, au moins 3713 personnes, en majorité des femmes et des enfants, ont déjà été recensées dans la ville d'Adré et ses environs.
"Le Tchad a le devoir de protéger ces personnes qui ont quitté leur patrie à cause des conflits intercommunautaires", a déclaré la semaine dernière le gouverneur de la province du Ouaddaï, Ramadan Erdebou lors d'un déplacement à Goz Beida.
Il a invité les responsables du département à accompagner les équipes mises en place pour faciliter les opérations de recensement et de prise en charge.
Des sites de transition ont été identifiés par les autorités, tandis que l'intégration dans des centres existants est envisagée.