Lors de cet exercice, une mission a été menée conjointement par les « GATA » (guideurs aériens tactiques avancés) tchadiens, les « JTAC » (Joint Terminal Attack Controller) français et les pilotes français de Mirages 2000D. De manière coordonnée, un exercice de tir s'est déroulé en parallèle. L’objectif de cet exercice était de maintenir les compétences des GATA tchadiens, qui ont parfaitement communiqué avec les pilotes français, et d’évaluer les militaires tchadiens dans un exercice de tir.
Les GATA tchadiens, formés par les « JTAC » français, spécialistes du contrôle aérien avancé, servent de lien essentiel entre les troupes au sol et les capacités aériennes. Leur mission principale est de dialoguer avec les aéronefs pour faciliter la compréhension des manœuvres au sol et pour assurer la distinction entre les troupes alliées et ennemies. Ils guident également les aéronefs de reconnaissance et de surveillance pour détecter des cibles d’opportunité, ce qui permet d’adapter la manœuvre en temps réel.
Les GATA tchadiens, formés par les « JTAC » français, spécialistes du contrôle aérien avancé, servent de lien essentiel entre les troupes au sol et les capacités aériennes. Leur mission principale est de dialoguer avec les aéronefs pour faciliter la compréhension des manœuvres au sol et pour assurer la distinction entre les troupes alliées et ennemies. Ils guident également les aéronefs de reconnaissance et de surveillance pour détecter des cibles d’opportunité, ce qui permet d’adapter la manœuvre en temps réel.
Le lieutenant Jules, « JTAC » français, a initialement pris contact avec le pilote du Mirage avant de transmettre la communication à son homologue tchadien.
Les instructions du premier GATA tchadien ont permis au pilote d’appuyer un convoi de véhicules. Par la suite, trois GATA tchadiens se sont relayés pour guider le pilote français vers des points précis et indiquer des cibles, simulant ainsi trois frappes.
Le capitaine Pierre, pilote du Mirage 2000D, a salué les compétences des GATA tchadiens : « Ils ont parfaitement réalisé l’exercice et nous ont fourni toutes les informations nécessaires tout au long de la manœuvre. » En effet, tout au long de l’exercice, les GATA tchadiens étaient en liaison directe avec les pilotes français.
« La particularité de l’exercice résidait dans la coordination entre le travail des GATA et le tir, ce qui créait une ambiance réaliste de situation de combat. Nous pouvions entendre les tirs à la radio », a précisé le pilote.
Les instructions du premier GATA tchadien ont permis au pilote d’appuyer un convoi de véhicules. Par la suite, trois GATA tchadiens se sont relayés pour guider le pilote français vers des points précis et indiquer des cibles, simulant ainsi trois frappes.
Le capitaine Pierre, pilote du Mirage 2000D, a salué les compétences des GATA tchadiens : « Ils ont parfaitement réalisé l’exercice et nous ont fourni toutes les informations nécessaires tout au long de la manœuvre. » En effet, tout au long de l’exercice, les GATA tchadiens étaient en liaison directe avec les pilotes français.
« La particularité de l’exercice résidait dans la coordination entre le travail des GATA et le tir, ce qui créait une ambiance réaliste de situation de combat. Nous pouvions entendre les tirs à la radio », a précisé le pilote.
Le sergent Mahamat Assadik Ahmd, GATA tchadien qui collabore depuis plusieurs mois avec l’armée française, s'est montré satisfait de son travail et de la communication avec le pilote.
Le commandant Mahamat Nour Ahmat Miss, référent tchadien du partenariat militaire opérationnel entre l’armée française et l’armée tchadienne, a exprimé sa satisfaction : « Nous sommes très contents de l’exercice réalisé aujourd’hui avec nos frères de l’armée française. Tout s’est très bien passé, et nous avons déjà constaté des résultats après quatre mois de formation avec l’armée française. »
Le commandant Mahamat Nour Ahmat Miss, référent tchadien du partenariat militaire opérationnel entre l’armée française et l’armée tchadienne, a exprimé sa satisfaction : « Nous sommes très contents de l’exercice réalisé aujourd’hui avec nos frères de l’armée française. Tout s’est très bien passé, et nous avons déjà constaté des résultats après quatre mois de formation avec l’armée française. »