Face à la complaisance des autorités vis-à-vis des voleurs nocturnes et la recrudescence de ce phénomène qui inquiète plus d'un habitant à Abéché, de plus en plus de voix s'élèvent parmi les populations de la ville pour réclamer l'instauration de la "justice populaire" pour contrecarrer ces actes de vols.
Certains vont plus loin, exigeant même l'application de la "Charia" (loi islamique) contre ces voleurs impunis. Des citoyens commencent à se décourager du sort que réservent nos autorités à ces voleurs qui, une fois capturés ou mis en prison aujourd'hui, seront automatiquement libérés le lendemain.
Il ne se passe pas un seul jour sans que des voleurs ne soient arrêtés après avoir commis leurs forfaits. Ils prennent tout ce qu'ils trouvent sur leur chemin : téléphones, panneaux solaires, marmites, nattes, habits et autres objets de valeurs.
Face à cette insécurité grandissante et dans le souci de sécuriser leurs biens, des jeunes des différents quartiers de la ville s'organisent pour mener des patrouilles nocturnes en lieu et place des forces de l'ordre.
Ces patrouilles civiles sont perçues par les autorités comme une faiblesse de leur part, raison pour laquelle elles les interdisent assez souvent, mais sans toutefois assurer la sécurité de ces populations et de leurs biens.
Même si pour le moment l'idée d'une justice populaire est à écarter, les autorités sont désormais interpellées sur cette question et doivent se montrer à la hauteur pour abréger les souffrances de ces paisibles citoyens victimes des actes de vols nocturnes.
Certains vont plus loin, exigeant même l'application de la "Charia" (loi islamique) contre ces voleurs impunis. Des citoyens commencent à se décourager du sort que réservent nos autorités à ces voleurs qui, une fois capturés ou mis en prison aujourd'hui, seront automatiquement libérés le lendemain.
Il ne se passe pas un seul jour sans que des voleurs ne soient arrêtés après avoir commis leurs forfaits. Ils prennent tout ce qu'ils trouvent sur leur chemin : téléphones, panneaux solaires, marmites, nattes, habits et autres objets de valeurs.
Face à cette insécurité grandissante et dans le souci de sécuriser leurs biens, des jeunes des différents quartiers de la ville s'organisent pour mener des patrouilles nocturnes en lieu et place des forces de l'ordre.
Ces patrouilles civiles sont perçues par les autorités comme une faiblesse de leur part, raison pour laquelle elles les interdisent assez souvent, mais sans toutefois assurer la sécurité de ces populations et de leurs biens.
Même si pour le moment l'idée d'une justice populaire est à écarter, les autorités sont désormais interpellées sur cette question et doivent se montrer à la hauteur pour abréger les souffrances de ces paisibles citoyens victimes des actes de vols nocturnes.