Une agente de santé du district de Massakory est discriminée. Suite à des soupçons de Covid-19 à N'Djaména en mars dernier, elle a été mise sous traitement à l'hôpital de Farcha.
Libérée après deux tests de Covid-19 dont le résultat s'est révélé négatif, elle a rejoint Massakory le 29 mai 2020 avec pour espoir, de reprendre sa vie normale. C'est ainsi qu'elle a décidé de regagner son poste et reprendre service.
Arrivée à son poste au centre numéro 1 de Massakory en date de 30 mai 2020, elle a été stigmatisée.
Informé de la situation, le responsable du centre de santé a alerté le chef de surveillance épidémiologique de Hadjer Lamis, Saleh Adiguer, qui a fait une descente sur le terrain pour constater ce fait.
Il fut confronté à la dame qui lui brandit une attestation de mise en liberté.
Interrogé mardi matin dans son bureau sur la stigmatisation de cette agente alors qu'elle est testée négative à la Covid-19, Saleh Adiguer, chef d'antenne de surveillance épidémiologique de Hadjer Lamis, estime qu'elle devrait être confinée pendant deux semaines à domicile, une mesure qu'elle n'a pas respecté.
Stigmatisée, la femme a rebroussé chemin pour N'Djamena en date du 31 mai 2020.
Libérée après deux tests de Covid-19 dont le résultat s'est révélé négatif, elle a rejoint Massakory le 29 mai 2020 avec pour espoir, de reprendre sa vie normale. C'est ainsi qu'elle a décidé de regagner son poste et reprendre service.
Arrivée à son poste au centre numéro 1 de Massakory en date de 30 mai 2020, elle a été stigmatisée.
Informé de la situation, le responsable du centre de santé a alerté le chef de surveillance épidémiologique de Hadjer Lamis, Saleh Adiguer, qui a fait une descente sur le terrain pour constater ce fait.
Il fut confronté à la dame qui lui brandit une attestation de mise en liberté.
Interrogé mardi matin dans son bureau sur la stigmatisation de cette agente alors qu'elle est testée négative à la Covid-19, Saleh Adiguer, chef d'antenne de surveillance épidémiologique de Hadjer Lamis, estime qu'elle devrait être confinée pendant deux semaines à domicile, une mesure qu'elle n'a pas respecté.
Stigmatisée, la femme a rebroussé chemin pour N'Djamena en date du 31 mai 2020.