Le Mouvement des 12 revendications a appelé vendredi à "briser les chaines et libérer le Tchad", au cours d'un point de presse dans la salle de conférence de la radio Arc-en-ciel à N'Djamena.
Moïse Ndondo, membre de la branche de la société civile du M12R, a indiqué que "l'heure est grave. Au lieu d'améliorer sa gestion de la chose publique, le régime renoue avec ses pratiques perverses, ses vieux démons et ceci en désaccord total avec ses normes et engagements dans le sens du respect des droits humains et libertés".
Selon lui, "comment comprendre que les plus hautes autorités parrainent des grandes rencontres mondiales (congrès de la 34ème conférence internationale des barreaux, Ndlr) et se permettent de mettre sous verrou l'un des grands défenseurs des droits de l'Homme au Tchad, en l'occurence Mahamat Nour Ibedou de la CTDDH. Le pouvoir en place persiste dans sa logique macabre, celle de maintenir le peuple assujetti."
Le M12R relève que "nul n'ignore qu'en date du 25 novembre 2019, nous avons déposé une pétition à la chambre constitutionnelle. Nous avons à travers une correspondance, demandé à la dite chambre d'interpeler le président de la République sur sa mauvaise gouvernance et surtout sur les maux que subit le peuple tchadien. Nous, nous rendons compte que la chambre n'a pas répondu favorablement à notre demande. Elle reste sourde et muette."
Il estime que "au lieu de résoudre les problèmes des tchadiens, les autorités préfèrent faire diversion en orchestrant des arrestations fantaisistes des collaborateurs du président de la République ldriss Deby ltno. Pour des observateurs avertis, Déby et son régime veulent à travers cette stratégie faire trainer les démarches en cours pour le rétablissement de gels sur salaires des fonctionnaires, les mesures et abattements."
Le M12R "condamne ces manoeuvres" et annonce que sa marche jaune prévue initialement le 7 décembre est décalée au 12 décembre prochain.
Moïse Ndondo, membre de la branche de la société civile du M12R, a indiqué que "l'heure est grave. Au lieu d'améliorer sa gestion de la chose publique, le régime renoue avec ses pratiques perverses, ses vieux démons et ceci en désaccord total avec ses normes et engagements dans le sens du respect des droits humains et libertés".
Selon lui, "comment comprendre que les plus hautes autorités parrainent des grandes rencontres mondiales (congrès de la 34ème conférence internationale des barreaux, Ndlr) et se permettent de mettre sous verrou l'un des grands défenseurs des droits de l'Homme au Tchad, en l'occurence Mahamat Nour Ibedou de la CTDDH. Le pouvoir en place persiste dans sa logique macabre, celle de maintenir le peuple assujetti."
Le M12R relève que "nul n'ignore qu'en date du 25 novembre 2019, nous avons déposé une pétition à la chambre constitutionnelle. Nous avons à travers une correspondance, demandé à la dite chambre d'interpeler le président de la République sur sa mauvaise gouvernance et surtout sur les maux que subit le peuple tchadien. Nous, nous rendons compte que la chambre n'a pas répondu favorablement à notre demande. Elle reste sourde et muette."
Il estime que "au lieu de résoudre les problèmes des tchadiens, les autorités préfèrent faire diversion en orchestrant des arrestations fantaisistes des collaborateurs du président de la République ldriss Deby ltno. Pour des observateurs avertis, Déby et son régime veulent à travers cette stratégie faire trainer les démarches en cours pour le rétablissement de gels sur salaires des fonctionnaires, les mesures et abattements."
Le M12R "condamne ces manoeuvres" et annonce que sa marche jaune prévue initialement le 7 décembre est décalée au 12 décembre prochain.