À dix jours de la fête marquant la fin du Ramadan, les marchés de N’Djamena, Dembé, Grand Marché, et Marché de Mil, se transforment en véritables carrefours d’effervescence et d’insécurité.
Les foules compactes attirent, non seulement les acheteurs en quête de préparatif festif, mais aussi les malfaiteurs qui profitent de l’agitation pour commettre leurs forfaits. À l’approche de la fête de l’Aïd el-Fitr, les marchés grouillent d’activités. Les familles affluent pour acheter vêtements, chaussures, bijoux ou provisions, pour marquer la célébration.
Cependant, cette ambiance animée s’accompagne d’un sentiment grandissant de danger. Les voleurs, attirés par l’affluence, sévissent dans les allées bondées, ciblant particulièrement les femmes, les jeunes et même les commerçants distraits. « J’ai vu mon téléphone disparaître en un instant, alors que je vérifiais le prix d’un article », raconte une cliente victime d’un vol au Marché de Mil.
Ces scénarios, devenus presque monnaie courante, sont souvent difficiles à prévenir dans le chaos ambiant. Parmi les cibles favorites des malfaiteurs, figurent les bijoux, les portefeuilles et les téléphones, souvent subtilisés par des pickpockets aguerris. Mais les voleurs ne s’arrêtent pas là. Les motos garées devant les marchés disparaissent régulièrement, et dans certains cas extrêmes, des voitures elles-mêmes sont ciblées. Pire encore, la rumeur de vols d’enfants continue de semer l’inquiétude dans la population.
Ces actes odieux, bien qu’exceptionnels, rappellent la nécessité d’une vigilance accrue. « Avec la foule, il est facile de perdre de vue ses enfants, et c’est là que les malfaiteurs frappent », alerte un habitant du quartier de Dembé. Les forces de sécurité locales, conscientes de l’ampleur du phénomène, intensifient leurs patrouilles autour des grands marchés. Cependant, avec des milliers de visiteurs par jour, les ressources sont souvent insuffisantes pour couvrir efficacement toutes les zones sensibles.
« Nous faisons de notre mieux pour sécuriser les marchés, mais la vigilance des citoyens est également essentielle », explique un officier de police. Les autorités appellent ainsi les habitants à redoubler de prudence, et à éviter de porter des objets de grande valeur, ou des sommes d’argent importantes, lorsqu’ils se rendent au marché.
Pour lutter contre cette recrudescence d’insécurité, des solutions structurelles doivent être envisagées. Les experts suggèrent l’installation de systèmes de vidéosurveillance dans les principaux marchés, un renforcement des effectifs policiers et une meilleure sensibilisation des populations à l’autoprotection.
En attendant, les habitants espèrent que la fête de l’Aïd el-Fitr pourra se dérouler dans un climat plus serein et sécurisé, loin des angoisses causées par ces actes malveillants.
Les foules compactes attirent, non seulement les acheteurs en quête de préparatif festif, mais aussi les malfaiteurs qui profitent de l’agitation pour commettre leurs forfaits. À l’approche de la fête de l’Aïd el-Fitr, les marchés grouillent d’activités. Les familles affluent pour acheter vêtements, chaussures, bijoux ou provisions, pour marquer la célébration.
Cependant, cette ambiance animée s’accompagne d’un sentiment grandissant de danger. Les voleurs, attirés par l’affluence, sévissent dans les allées bondées, ciblant particulièrement les femmes, les jeunes et même les commerçants distraits. « J’ai vu mon téléphone disparaître en un instant, alors que je vérifiais le prix d’un article », raconte une cliente victime d’un vol au Marché de Mil.
Ces scénarios, devenus presque monnaie courante, sont souvent difficiles à prévenir dans le chaos ambiant. Parmi les cibles favorites des malfaiteurs, figurent les bijoux, les portefeuilles et les téléphones, souvent subtilisés par des pickpockets aguerris. Mais les voleurs ne s’arrêtent pas là. Les motos garées devant les marchés disparaissent régulièrement, et dans certains cas extrêmes, des voitures elles-mêmes sont ciblées. Pire encore, la rumeur de vols d’enfants continue de semer l’inquiétude dans la population.
Ces actes odieux, bien qu’exceptionnels, rappellent la nécessité d’une vigilance accrue. « Avec la foule, il est facile de perdre de vue ses enfants, et c’est là que les malfaiteurs frappent », alerte un habitant du quartier de Dembé. Les forces de sécurité locales, conscientes de l’ampleur du phénomène, intensifient leurs patrouilles autour des grands marchés. Cependant, avec des milliers de visiteurs par jour, les ressources sont souvent insuffisantes pour couvrir efficacement toutes les zones sensibles.
« Nous faisons de notre mieux pour sécuriser les marchés, mais la vigilance des citoyens est également essentielle », explique un officier de police. Les autorités appellent ainsi les habitants à redoubler de prudence, et à éviter de porter des objets de grande valeur, ou des sommes d’argent importantes, lorsqu’ils se rendent au marché.
Pour lutter contre cette recrudescence d’insécurité, des solutions structurelles doivent être envisagées. Les experts suggèrent l’installation de systèmes de vidéosurveillance dans les principaux marchés, un renforcement des effectifs policiers et une meilleure sensibilisation des populations à l’autoprotection.
En attendant, les habitants espèrent que la fête de l’Aïd el-Fitr pourra se dérouler dans un climat plus serein et sécurisé, loin des angoisses causées par ces actes malveillants.