Le procureur de la République près le Tribunal de Grande instance de N'Djamena, Youssouf Tom a mis en garde mardi contre l'utilisation malsaine des réseaux sociaux par des citoyens résidant à N'Djamena.
Dans sa déclaration, le procureur de la République Youssouf Tom affirme qu'il a été constaté que ces derniers temps, au moment où le monde entier vit des moments difficiles liés à la pandémie du coronavirus, et plus particulièrement le Tchad avec un double combat contre la pandémie et Boko Haram, "des individus identifiés, mal intentionnés, voulant conduire le pays dans l'abîme, utilisent de façon malsaine les réseaux sociaux pour s'attaquer à des groupes ethniques."
"Nous pensons qu'il est temps d'arrêter ces genres de pratiques. Tous ceux qui s'adonnent à de telles pratiques, qu'ils sachent que nous vivons dans un État de droit et non dans une jungle", a dit le procureur Youssouf Tom.
Selon lui, l'article 450 du Code pénal précise qu'est punie d'un emprisonnement de 1 à 5 ans et une amende de 1.000.000 à 10.000.000 de FCFA ou de l'une de ces deux peines, toute personne, auteur d'une insulte commise par le biais d'un système informatique envers une personne en raison de son appartenance à un groupe qui se caractérise par la race, la couleur, l'ascendance, la filiation ou l'origine ethnique, la religion, dans la mesure où cette appartenance sert de prétexte à l'un ou l'autre de ces caractéristiques.
"De tels comportements troublant la cohésion sociale ne peuvent plus être tolérés dans notre société en cette période où tous les tchadiens ont besoin d'être plus que soudés pour faire face aux ennemis communs qui sont le terrorisme et le Covid-19", a indiqué le procureur de la République près le Tribunal de Grande instance de N'Djamena Youssouf Tom.
Dans sa déclaration, le procureur de la République Youssouf Tom affirme qu'il a été constaté que ces derniers temps, au moment où le monde entier vit des moments difficiles liés à la pandémie du coronavirus, et plus particulièrement le Tchad avec un double combat contre la pandémie et Boko Haram, "des individus identifiés, mal intentionnés, voulant conduire le pays dans l'abîme, utilisent de façon malsaine les réseaux sociaux pour s'attaquer à des groupes ethniques."
"Nous pensons qu'il est temps d'arrêter ces genres de pratiques. Tous ceux qui s'adonnent à de telles pratiques, qu'ils sachent que nous vivons dans un État de droit et non dans une jungle", a dit le procureur Youssouf Tom.
Selon lui, l'article 450 du Code pénal précise qu'est punie d'un emprisonnement de 1 à 5 ans et une amende de 1.000.000 à 10.000.000 de FCFA ou de l'une de ces deux peines, toute personne, auteur d'une insulte commise par le biais d'un système informatique envers une personne en raison de son appartenance à un groupe qui se caractérise par la race, la couleur, l'ascendance, la filiation ou l'origine ethnique, la religion, dans la mesure où cette appartenance sert de prétexte à l'un ou l'autre de ces caractéristiques.
"De tels comportements troublant la cohésion sociale ne peuvent plus être tolérés dans notre société en cette période où tous les tchadiens ont besoin d'être plus que soudés pour faire face aux ennemis communs qui sont le terrorisme et le Covid-19", a indiqué le procureur de la République près le Tribunal de Grande instance de N'Djamena Youssouf Tom.