Le ministre du Pétrole et de l'Energie, Mahamat Hamid Koua a pris part ce mercredi à la séance plénière de l'Assemblée nationale au cours de laquelle il a répondu à des questions orales des députés.
17 questions ont été posées au ministre, liées à l'organisation, au fonctionnement, à la gestion, la gouvernance et aux propositions d'amélioration de la gouvernance de la Société nationale d'électricité (SNE). D'emblée, Mahamat Hamid Koua a indiqué que beaucoup de questions se recoupent.
Plusieurs députés se sont penchés sur l'effectivité des réformes ou encore le traitement inégal dans la fourniture énergétique à N'Djamena, l'éclairage public, les zones rouges, les clients qui ne paient pas les factures d'électricité et les disparités dans la couverture énergétique des provinces.
"Je n'ai pas à juger les propos des députés mais apparemment c'est une question qui n'a fait que trop durer d'après ce que j'ai noté", a souligné le ministre.
Selon lui, "beaucoup d'intérêts d'entreprises ressortent dans les propos ici (des députés, Ndlr), comme s'il y a des avocats d'entreprises."
Mahamat Hamid Koua a dénoncé "quelques injures aussi" de députés.
"Je ne sais pas si un député a le droit d'injurier mais on sent beaucoup de frustrations personnelles dans les interventions des députés, traités peut être mal par un agent ici ou là. La plus grande partie des interventions se résume par des difficultés aussi d'incompréhension. Il y a beaucoup de questions d'incompréhensions et de clarifications qui sont posées", a-t-il indiqué.
Le président de l'Assemblée nationale, Haroun Kabadi a également recadré la salle. "On parle ici de l'électricité mais on tire vers les questions de l'alternance. Ça ne fait pas partie de la question orale avec débat. Bon, on peut poser des questions d'alternance et puis on va débattre également ici. Mais ce n'est pas le moment de parler d'alternance. Les gens pourront nous rétorquer la même chose. Vous les députés là, il n'y a pas d'alternance, ça fait huit ans que vous êtes là, où est l'alternance ? Donc il faut que nous même on sache balayer devant notre porte avant de commencer à critiquer les autres portes".
Le ministre secrétaire général adjoint du gouvernement, Dorji Nazaire a également pris part à la plénière.
17 questions ont été posées au ministre, liées à l'organisation, au fonctionnement, à la gestion, la gouvernance et aux propositions d'amélioration de la gouvernance de la Société nationale d'électricité (SNE). D'emblée, Mahamat Hamid Koua a indiqué que beaucoup de questions se recoupent.
Plusieurs députés se sont penchés sur l'effectivité des réformes ou encore le traitement inégal dans la fourniture énergétique à N'Djamena, l'éclairage public, les zones rouges, les clients qui ne paient pas les factures d'électricité et les disparités dans la couverture énergétique des provinces.
"Je n'ai pas à juger les propos des députés mais apparemment c'est une question qui n'a fait que trop durer d'après ce que j'ai noté", a souligné le ministre.
Selon lui, "beaucoup d'intérêts d'entreprises ressortent dans les propos ici (des députés, Ndlr), comme s'il y a des avocats d'entreprises."
Mahamat Hamid Koua a dénoncé "quelques injures aussi" de députés.
"Je ne sais pas si un député a le droit d'injurier mais on sent beaucoup de frustrations personnelles dans les interventions des députés, traités peut être mal par un agent ici ou là. La plus grande partie des interventions se résume par des difficultés aussi d'incompréhension. Il y a beaucoup de questions d'incompréhensions et de clarifications qui sont posées", a-t-il indiqué.
Le président de l'Assemblée nationale, Haroun Kabadi a également recadré la salle. "On parle ici de l'électricité mais on tire vers les questions de l'alternance. Ça ne fait pas partie de la question orale avec débat. Bon, on peut poser des questions d'alternance et puis on va débattre également ici. Mais ce n'est pas le moment de parler d'alternance. Les gens pourront nous rétorquer la même chose. Vous les députés là, il n'y a pas d'alternance, ça fait huit ans que vous êtes là, où est l'alternance ? Donc il faut que nous même on sache balayer devant notre porte avant de commencer à critiquer les autres portes".
Le ministre secrétaire général adjoint du gouvernement, Dorji Nazaire a également pris part à la plénière.